+Al Mounaataf+ écrit que "tout le monde sait aujourd'hui qui est la partie réelle" au différend sur le Sahara, à savoir le régime algérien qui s'est employé, dès que le Maroc a décidé de libérer ses provinces du Sud du colonialisme espagnol, à mettre en œuvre tous les moyens à sa disposition, militaires, financiers et diplomatique entre autres, pour détourner le Royaume de la construction de son processus démocratique et de développement.
La publication estime qu'"afin que les efforts des Nations unies soient fructueux et que l'impasse ne perdure pas, la communauté internationale doit ouvrir une discussion directe avec les gouvernants d'Alger pour les empêcher d'envenimer davantage le conflit".
+Al Ittihad Al Ichtiraki+, qui revient sur les "dérapages" du secrétaire général de l'ONU, relève que Ban Ki-moon "n'a pas dissimulé sa déception et son amertume" de la position exprimée par le Conseil de sécurité, réuni en session extraordinaire, car il s'attendait à une "confirmation" de sa "tendance narcissique".
Ban Ki-moon, "qui voulait que le Conseil de sécurité cautionne son analyse, a été désappointé de voir les pays influents résolus à maintenir leurs contacts avec le Royaume", constate le journal.
+Aujourd'hui le Maroc+ tire la sonnette d'alarme sur le fléau de la violence dans les stades, sur fond des incidents meurtriers ayant éclaté samedi entre deux groupes de supporters du Raja de Casablanca.
Le quotidien relève que les violences "inouïes" et "surtout gratuites" qui surviennent à l'issue de chaque rencontre "font tout simplement peur", notant que l'approche sécuritaire n'a pas pu endiguer ce phénomène "qui prend de plus en plus d'ampleur" dans les villes étant donné que "le problème est beaucoup plus complexe que nous le pensons".
Il souligne la nécessité d'"agir d'abord pour comprendre ce qui est en train de se passer" afin de trouver une solution appropriée, "sinon il faut s'attendre au pire dans le futur".
Dans le même sillage, +Assabah+ estime qu'il s'agit d'une situation qui exige une "lecture psychologique" et une "approche sociale" de l'attitude du supporter qui, quoique vainqueur, se déchaîne après un match dont le réel plaisir reste la victoire.
Tentant d'élucider les mobiles de ces actes de violence, le journal note que les lois seules s'avèrent insuffisantes, que le huis clos n'est pas une solution et que les sanctions n'empêcheraient pas la reproduction de ces violences, "d'autant plus une grande partie de la responsabilité incombe à la société toute entière".
+Bayane Al Yaoum+ s'intéresse à l'organisation du Forum Crans Montana à Dakhla. Le journal explique que le succès de ce forum, qui a été organisé pour la deuxième fois consécutive dans la ville de Dakhla, a constitué un revers infligé aux ennemis de l'intégrité territoriale du Royaume, vu surtout la conjoncture diplomatique et politique qui a marqué ces derniers jours.
Ce forum a été d'emblée un succès, dès lors qu'il s'est tenu à Dakhla, soutient-il, ajoutant que le deuxième succès de cette manifestation a été concrétisé par les centaines de personnalités imminentes qui ont répondu présent à l'invitation des organisateurs, dont des chefs d'Etat, des acteurs politiques, économistes, experts reconnus et représentants des médias de différentes nationalités.
L'Economiste s'attarde sur les enjeux de la numérisation de l'économie, notant que beaucoup d'industries "doivent admettre qu'elles ont pris du retard pour capitaliser sur le potentiel du digital dans l'amélioration de la productivité et des process".
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