Règlements de comptes au ministère des Affaires étrangères : L’ancien Ambassadeur Kodjo Ménan toujours à la DCPJ, rejette toutes les accusations ;-tout sur les dessous de l’affaire de malversations aux Nations Unies, écrit à la Une, LE CORRECTEUR, le Bi-Hebdo.
Comme l’avait écrits certains journaux, M Kodjo Ménan n’est pas déféré à la prison civile de Lomé. Il est toujours gardé à la DCPJ.
Selon le Correcteur qui cite des sources du ministre des Affaires étrangères, la convocation de l’ex-ambassadeur ressemble à un règlement de compte.
"Des sources proches du ministère des Affaires Etrangères parlent plutôt de règlements de comptes et que M Kodjo Ménan est victime de la confiance que le chef de l’Etat lui accorde par rapport à sa rigueur dans le travail bien fait".
Incivisme et délinquance dans les quartiers commerciaux de Lomé : Un vendeur de chaussures poignarde un zemidjan à Gbossimé.
A en croire le journal, tout était parti sur une incompréhension mal gérée par un jeune vendeur de chaussures le Lundi de Pâques dernier à Gbossimé. Piqué par quelle mouche l’on ne sait, le vendeur dans les disputes entre lui et le zemidjan, l’avait poignardé. Les témoins ont dû faire appel aux sapeurs pompiers qui sont venus l’évacuer à l’hôpital.
LIBERTE, quotidien privé dans les kiosques ce mercredi met à la Une/ Dossier Pillage et enrichissement illicite à la CEET: Les monstruosités de l’ancienne direction dans la procédure de passation des marchés ; -Sociétés écrans, matériels livrés sans bons de commande, sur-stockage de matériels…
La note de synthèse de la mission de contrôle de la procédure de passation des marchés de la Compagnie énergie électrique du Togo (CEET) met à nu la gestion scandaleuse de l’ancienne direction. En effet, l’ARMP a, dans la correspondance N°3072/ARMP/DG/DRAJ du 30 décembre 2015, interpelle la Direction générale de la CEET (l’ancienne équipe, NDLR) sur un certain nombre de dysfonctionnements liés au non respect des règles de la dépense publique. On note, entre autres, la nomination de matériels et équipements sans commandes ni marchés publics préalables ; le fractionnement de certaines commandes dont les montants sont inférieurs au seuil de passation (50 millions Fcfa) pour échapper à la mise en concurrence ; le lancement de procédures d’appel à concurrence par l’acquisition de certains fournitures et équipements, notamment les compteurs, alors que le stock disponible peut couvrir les besoins sur plusieurs années ; le lancement de procédures de nouvelles acquisitions d’équipements, notamment le groupe électrogène, alors qu’un marché relatif au même matériel est en attente d’approbation, écrit le journal.
Selon Liberté, "c’est suite à ce courrier que le président du conseil d’administration a instruit la Direction de l’inspection générale et de l’audit interne (DIGA) de la CEET de procéder à un contrôle exhaustif des procédures de passation des marchés de ladite société. Que de manquements ont été découverts par la DIGA ! Non respect des délais de traitement des marchés inscrits au Plan de Passation de Marchés (PPM), non respect des procédures de passation des marchés publics, sur-stockage de certains matériels de branchement, insuffisance de contrôle du dispositif de contrôle interne…Les anciens DG Gnandé Djétéli et DGA Ayao Amousou-Kpéto ont été épinglés. Un laisser-aller rendu possible par l’ancien Conseil Administration piloté par Foli-Bazi Katari".
Malaise autour du découpage des communes : Les populations de Baguida dénoncent « un désordre total", note le journal qui informe que, suite au redécoupage des communes du Togo, des voix s’élèvent pour que la nouvelle carte des communes soit revue, en collaboration avec les populations.
"Celles de Dévégo ont adressé une lettre au préfet du Golfe et relevé les manquements et incohérences contenus dans le nouveau découpage. Leur village perd plusieurs quartiers alors que d’autres ne figurent plus sur la carte. Les habitants de Dévégo insistent sur le fait qu’ils ne sont pas en mesure de respecter la décision du gouvernement", précise le journal.
Retard dans la réalisation de la décentralisation : Faure Gnassingbé incrimine le problème de consensus et les lendemains électoraux difficiles, peut-on lire à la Une de FORUM DE LA SEMAINE, Quotidien privé.
La décentralisation et les élections locales seront bientôt une réalité au Togo. Le Chef de l’Etat Faure Gnassingbé en a donné le ton hier face aux chefs traditionnels qu’il a reçus au Palais de la présidence pour leur présenter la feuille de route de la décentralisation et des élections locales élaborée par un comité technique.
Après leur avoir donné de l’assurance de l’éminence desdites élections, il a donné les raisons qui ont toujours sous-tendu le retard accusé dans la mise en œuvre de la décentralisation et de l’organisation de ces scrutins, développe Forum de la Semaine.
Eliminatoires CAN GABON 2017/Togo-Tunisie (0-0) : Nul décevant pour les Eperviers, déplore le journal
Pour Forum de la Semaine, "battus 1-0 à l’aller à Monastir, en terre tunisienne vendredi dernier, les Eperviers du Togo n’ont pu faire qu’un match nul au retour hier mardi au stade de Kégué lors de la 4e journée des éliminatoires de la CAN Gabon 2017. Par ce score, les Eperviers, 1er de leur groupe lors des deux premières journées, se retrouvent 3e avec 7 points dans le groupe A, désormais commandé par le Libéria (9 points) suivi de la Tunisie (7 pt)".
Mauvais départ pour les élections locales : Les Chefs et les Préfets malmenés et humiliés à la présidence, relève L’INDEPENDANT EXPRESS, Hebdo
Selon le journal, mardi dernier Faure Gnassingbé a reçu les chefs traditionnels au nouveau palais. Mais l’Indépendant Express note cette rencontre s’est achevée avec un goût amer, car précise le journal, les « partenaires en décentralisation sont repartis, déçus, frustrés et très fâchés. Ils ont été malmenés et humiliés.
Destruction volontaire de station d’essence : L’Huissier Amégbo, arrêté et détenu par la police, informe le journal.
L’affaire a fait grand bruit et beaucoup ont critiqué la décision qui a aboutit à la démolition systématique de la station d’essence construite sur le grand contournement de Lomé par les soins d’un huissier de justice. Me Amégbo est aujourd’hui dans de beaux draps, puisque, une plainte du propriétaire de la station le vise pour destruction volontaire. Il est en détention provisoire à la direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) en attendant d’être renvoyé en prison. La victime réclame des milliards de Fcfa, rapporte l’auteur de l’article.
Yves Bété tué dans des combines mystérieuses, écrit le journal qui parle de leadership qui l’opposerait à d’autres cadres de la localité du disparu qui voyaient de mauvais œil une ascension politique.
"Son poste à la primature, sa fonction au comité de normalisation, son influence dans la ville d’Atakpamé comme parrain de la foire des 7 collines, son implication dans le sport en qualité de Président de la ligue foot plateau Est, tout cela lui traçait donc la voie vers une émergence politique presque sûre, mais dérangeante", écrit le journal.
Togo, un arbitraire peut en cacher un autre : Faure Gnassingbé punit et libère provisoirement pour mieux dompter les démocrates !, lit-on à la Une de l’Hebdo LE TRIANGLE DES ENJEUX.
Le pouvoir togolais libère provisoirement le Dr Antoine Randolph, refuse de reconnaître son erreur et se venge en mettant en prison le Pasteur Edoh Komi, le Président de l’Association de Défense des Droits de l’Homme, "le Mouvement Martin Luther King" dit "La voix des sans voix".
Pour le journal "le monde doit savoir comment s’organise l’arbitraire au Togo et libérer les hommes et femmes libres d’aller, de venir et de s’exprimer".
Patrice Talon chez Faure Gnassingbé : Que cacherait la première sortie officielle du Président bien élu du Bénin ?, se demande le journal.
Au-delà de la version servie sur le site officiel et dont le Chef de l’Etat serait l’auteur, certains analystes trouvent en cette première sortie de l’élu démocratique du Bénin, le très mauvais choix qui l’a conduit au Togo chez Faure Gnassingbé. Selon les analystes cités par le journal, « en rendant visite au Chef de l’Etat togolais, le virus de la présidence « à vie » pourrait l’emporter et une fois atteint des délices du pouvoir, il n’aurait plus pensé au respect de la constitution de son pays.
L A
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