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NAÎT- ON FRANÇAIS ou LE DEVIENT- ON ?

Togo - Opinions
A moins de boucher ses oreilles, par quoi je ne sais plus, on est forcé d’entendre, où qu’on se trouve dans un lieu public, les jérémiades sonores de tant de Nègres plaintifs de leur sort. C’est sans doute pareil partout où ils sont en terres étrangères hors de l’Afrique, leur berceau naturelle, qu’ils désertent absurdement en masses ! Mais ce que mes pauvres oreilles ont supporté durant le trajet ont allumé en moi une sorte de remise en question qu’il me paraît impossible de taire. Mais avant cela, je porte à votre connaissance les propos entendus. Il s’agit, à mon avis et malgré la bonne humeur nègre de l’orateur, d’un véritable lamento ; celui d’un homme pourtant bien costumé qui trouve que « les quarante ans passés en France n’ont été que galère, ‘’échec et mat’’ » [J’avoue ne pas saisir son langage, j’espère que ce n’est pas le cas pour vous]. Il discutait avec deux autres Nègres de bonne mine comme lui. Des Congolais, du Zaïre, si j’en crois les quelques mots de lingala familiers qui meublent ma bibliothèque musicale…. Le soi-disant infortuné disait donc, ouvrez les guillemets…

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« Longtemps, je suis resté bouche bée ne cherchant même pas à avancer quoi que ce soit à ceux qui me traitaient de « C.O.N. » [C’est ce qu’il a dit !], parce que je n’ai pas pris la nationalité française comme les autres. Ce qui, argutient-ils [« néologisme » entendu !, peut-être veut-il dire « arguent-ils », du verbe « arguer » ; mais il reste probable qu’il tire son « verbe » du mot « argutie »], m’aurait facilité les choses. Certes, je n’ai pas », poursuit-il, « amasser la moindre fortune mais le désir de recourir à ladite nationalité pour conjurer mon ‘’ mal’’ [Il fait des crochets en l’air avec ses immenses doigts d’orang-outan (c’est un grand gaillard en effet)] mon ‘’mal’’ d’être pauvre ne m’est jamais passé par la tête. En fait, je continue à ne pas m’interroger sur les raisons profondes de cette absence d’intérêt pour l’acquisition des papiers français, une nationalité française qui me serait m’a-t-on souvent dit octroyée très facilement compte tenu de la francitude et de la francité que je dégage naturellement, à mon corps défendant d’ailleurs. »

A ces mots de ‘’francitude’’ et de ‘’francité’’, et du syntagme «à mon corps défendant d’ailleurs », un éclat de rire général fit trembler le wagon. C’est alors que je compris que je n’étais pas l’unique auditeur discret de cet orateur apparemment docteur senghorien, senghoriste ou doctorant senghorisant (Léopold Sédar Senghor, grand idéologue de la « Négritude » et de la « Négrité ») en perdition qui, content de l’effet produit, continua en ces termes. Ouvrez les guillemets…
« C’est vrai, j’aime la cuisine française et je sais me tenir à table, fourchette dans la main gauche et couteau dans la main droite. Ce que, je l’ai remarqué, beaucoup de Français de souche sont incapables de faire. Passons. Et je ferme la bouche quand je prends mes repas. Etc. etc. Tout ce savoir-vivre je l’ai appris dans ma tendre enfance en servant les Missionnaires. Je sais aussi dresser la table, ce qui a toujours étonné les invitées que je reçois à dîner. » Un sourire esquissé sur son visage fit comprendre qu’il n’invitait que des dames, rien que des blanches à ce qu’on peut en juger par sa mine de spécialiste... Ou des Négresses à la peau très artificiellement blanchie. Comme M. J., aujourd’hui disparu. Il continua. Ouvrez les guillemets.

« Ce sont les Missionnaire blancs qui m’ont appris toutes ces bonnes manières françaises. Chez eux, je n’ai jamais entendu le mot ‘’nègre’’ ni celui de ‘’négro’’, comme je l’entends si souvent en France. Souvent, je me demande si je suis bien en France ; il y a un tel gouffre entre l’humanité ou l’humanisme de ces Missionnaires qui m’ont éduqué à la française et ce que j’entends et vois dans ce pays qu’on dit ‘’Pays des Droits de l’Homme’’. » Il se livra alors à des propos violents et insultants, utilisant les gros mots que vous savez. Le respect du lecteur m’interdit de reproduire les grossièretés entendus. En fait, il n’y avait plus rien d’intéressant et l’orateur, accompagné de ses amis, descendit à l’arrêt de la ville suivante. Tout redevint subitement calme et morne, comme un ballon de foot percé. Fermez les guillemets. C’est alors que ma cervelle se mit à ‘’bouillir’’, une haine subite monta en moi. La France me parut autre…. Je me mis à mon tour à méditer, à pester intérieurement...

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Nul doute, Manuel Valls, l’actuel locataire de Matignon – à qui François Hollande – l’actuel locataire de l’Élysée – a promis le poste de PM jusqu’à la fin de son quinquennat – que les Français renouvelleront peut-être !, ce qui n’étonnerait personne -, Manuel Valls doit, en son for intérieur, se rendre compte qu’il n’est pas vraiment Français et qu’il ne le sera jamais quel que soit son dévouement pour la France. Pour une broutille !

Il doit regretter amèrement son voyage avec ses enfants, avec l’avion de l’État français, pour assouvir sa passion du foot entre un club munichois et une équipe espagnole dont il est un mordu apparemment incurable. Pourtant le problème n’est pas celui d’être le passionné d’une équipe espagnole ; le problème c’est d’être profondément Espagnol dans l’âme et se croire Français ! Ce qu’il a fait, un Français de souche ne le ferait pas, du moins pas aussi gauchement ou grossièrement. Le Français de souche, dont la petitesse est légendaire –« bassesse » dirait Diderot-, procéderait autrement : en faisant coïncider l’assouvissement de sa passion avec un colloque (séminaire) ou une rencontre qu’il voudrait faire croire de haute importance. Et on dira « le premier ministre a profité de sa rencontre avec Dobrossounov, son homologue Grungrousse…etc.. » A vrai dire, un tel manège, avec un PM Français de souche, se préparerait de longue date et ne se serait pas passé sur un coup de tête comme l’a fait Monsieur Valls. Coup de tête, ce n’est pas sûr mais cela reste révélateur d’un naturel resté catalan.

Comme dirait Henri Bergson, « On a eu tort de dire « Chassez le naturel, il revient au galop», car le naturel ne se laisse pas chasser. Il est toujours là. » (Les deus sources de la religion et de la morale (1932)) En clair, Monsieur Valls n’a pas perdu ses habitudes espagnoles, son « gnac » catalan, tout Français qu’il est ou soit devenu ! Il n’a pas par conséquent l’habitude française ! Et là encore, quand bien même il l’aurait à la perfection les Français de souche diront qu’elle est une tendance qui n’est pas innée confondant ainsi, dirait Bergson, une tendance « transmissible en effet du parent à l'enfant » par l’éducation « et l'habitude acquise qui s'est souvent greffée sur la tendance naturelle. » (Ibidem). Un critique attitré de Bergson me dira que j’escamote la doctrine du philosophe parce que je n’emprunterais que l’accessoire et laissant de côté la doctrine bergsonienne du progrès sur lequel se greffe les habitudes. On peut s’en taper, comme les Stoïciens - dont Bergson se rit de l’humanisme -, de cette doctrine bergsonienne du progrès puisque des peuples et des races, au dire du même philosophe, se contentent bien d’une existence faite que d’habitudes ! Contradiction ? Certainement ! Parce sous-tendue par du racisme…

Finalement, si on suit le philosophe de l’Essai sur les données immédiates de la conscience, la francité et la francitude, pour reprendre le lexique révélateur du voyageur de tout à l’heure, restent au fond des acquis de l’habitude car ces états d’être ne sont pas, comme dirait Platon, des données eidétiques en soi qui participent à l’ontologie humaine française. Ne dites pas à Michel Onfray que je fais de la philosophie ! Il me pulvériserait en mille morceaux avant de s’apercevoir que je ne fais pas de la métaphysique mais de la spiritualité, lui l’adepte athée ( ?), à ce qu’il me semble, de la définition aristotélicienne de la métaphysique ! Un métaphysicien du concept aristotélicien donc. Je suis plutôt du côté de Platon, des Idées éternelles, ce qui n’est pas la même chose que la participation eidétique et la participation conceptualiste renvoyant, chacune, à un discours spécifique…Rappelons qu’Aristote n’était pas athée, malgré une conception très complexe de Dieu, que Bergson crut devoir ou pouvoir mettre à bas avec l’aristotélisme ! Histoire de faire la place à son Dieu à lui, à Jéhovah ! Bergson était d’origine Juive.

Les Français de souche ont absolument tort : on ne naît pas Français mais on le devient par l’éducation et l’assimilation. Comme l’ont été leurs ancêtres. Francité et francitude sont les produits harmonieux d’une culture d’habitudes qu’on a fini par prendre pour des réalités naturelles sui generis. Or toute harmonie et toute culture sont une affaire d’inlassables efforts. A défaut, c’est la sclérose et la disparition. Mais voyons la réalité en face.
C’est vrai, Manuel Valls n’est pas né Français ; il n’est Français que depuis trente ans si on peut se permettre cette concession. On peut donc avoir des doutes. Cependant, aurait-il pu en si peu de temps réussir tant de prouesses politiques sans avoir donné des gages de sa francitude ? Peut-être faut-il dire francité ? Pourquoi pas les deux, puisque cela renvoie à deux réalités légèrement différentes. Abordons-les chez M. Valls, sobrement. La question qui se pose paraît celle de la francité : Manuel Valls est-il devenu Français, son être véritable a-t-il changé ? Son escapade en Allemagne pour voir un match semble plaider défavorablement bien sûr, malgré ses papiers qui disent qu’il est Français. Or si les Français de souche se foutent pas mal des Français de papiers, c’est qu’ils privilégient la francité. La francitude ce serait la façade, les habitudes françaises qu’adopteraient les Français de papiers. Entre parenthèses, il m’est arrivé d’entendre des étudiantes Françaises, apparemment de souche, décortiquer un de leur professeur qui aimait, prétendent-elles, adopter des habitudes de fin gourmet à la française. Elles avaient en fait fini par découvrir, suite à des doutes, que le fin gourmet était d’origine Grecque…Une affaire de feeling direz-vous. Évidemment, quand on vit entre soi on finit par sentir qui est Français de souche et qui ne l’est pas !

Or il semble que M. Valls a manqué de francitude c’est-à-dire de doigté finalement ! On serait alors tenté de dire qu’importe que Monsieur Valls ait ou n’ait pas du doigté ou les bonnes manières françaises puisque les Français de souche s’en moquent. C’est qu’ils sont instruits par leur ancêtre Denis Diderot et peuvent de ce fait qualifier de pantomimes (Le Neveu de Rameau) ces bonnes manières imitables par tout le monde. De la comédie donc ! Ce serait oublier que ces mêmes Français de souche prennent leur propres pantomimes pour quelque chose qui émane des tréfonds de leur être tandis que celles des Français de papiers ne sont que des adoptions d’attitudes convenues pour faire bien devant les autres. Mon œil !!! Surtout que nous sommes dans le domaine de la politique, domaine de la « comédie humaine » par excellence ! « Pantomime des gueux », lance Diderot…. On se rappelle peut-être comment Jacques Lang fut accueilli à l’Assemblé nationale et par l’opinion publique avec sa nouvelle tenue vestimentaire de député socialiste devenu par la suite mitterrandolâtre invétéré. Tenue ‘’Col Mao’’ si j’ai bonne mémoire. Ce n’était pas Français de s’habiller ainsi ! Curieusement, les mêmes Français de souche sont aussi sévères envers ceux des Français de papiers qui ne respectent pas la francitude, le fameux doigté. Par contre, cela devient grotesque quand on met dans le même sac Monsieur Manuel Valls avec ces Français de papiers qui n’ont ni francitude ni francité (eh oui, cela existe aussi !). Cela choque encore fortement quand on nie cette francité et cette francitude à des personnes parfaitement Françaises. Quelques exemples.

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Jean Marie Le Pen, qui éprouve toutes les peines du monde à se faire obéir de sa fille, aurait-il raison d’avoir traité M. Manuel Valls d’ ‘’immigré’’ bien qu’il sache que ce dernier est le Premier ministre de la France? On dirait que chez lui, et les autres d’ailleurs, le sentiment d’être Français de souche donne tous les droits et surtout le droit à l’impudence et à l’injure facile. Il faut rappeler à Le Pen qui doit le savoir pourtant que sous l’ancien Régime, des étrangers (Italiens naturalisés bien sûr) occupèrent ce poste avant Manuel Valls. Mais les réactions haineuses de Monsieur Le Pen sont dans la tradition française. Une députée Française n’a-t-elle pas déclaré sur les radios que le timbre des interventions du Premier ministre à l’Assemblée nationale lui faisait peur ? Lui reprochant un style qui, apparemment, n’est pas français de souche! Toutefois, ce ne sont pas des mots en l’air ! C’est l’expression d’un sentiment profond : celui de la diabolisation rampante ! Rappelons que cela finit très mal pour Concini, « un aventurier italien au service de la France, assassiné ignoblement sur ordre de Louis XIII en 1617 ». Son épouse fut décapitée et brûlée… parce qu’ils n’étaient pas des Français de souche tout simplement !

Dans son for intérieur, Manuel Valls a sans doute été touché après qu’il a entendu ces paroles fielleuses. Peut-être s’est-il convaincu qu’il ne sera jamais un Français comme les autres, comme les Français de souche, qu’il fasse bien ou mal son travail ! C’est grave que des Français mettent d’autres Français dans cet état. Il ne sera pas le premier à regretter probablement de s’être fait naturaliser. Un grand académicien, et grand écrivain aujourd’hui disparu, l’a regretté dans les dernières années de sa vie. Il était Français d’origine russe, on le lui fit bien sentir comme dirait La Fontane (La raison du plus fort est toujours la meilleure) quoiqu’il parlât la langue française comme un vrai Parisien ! Un autre grand Monsieur, Français d’origine égyptienne, Pierre Moussa pour le nommer, refusa de se lancer en politique parce qu’il craignait que quelqu’un lui lance à la figure qu’il est un immigré Égyptien. Et que dire de Serge Gainsbourg sur lequel se ruèrent les Français de souche antisémites et haineux de voir un si grand Français vivre pleinement sa francitude et sa francité. Michel Droit, l’antisémite de service, lui rappela ses origines juives et voulu le forcer à porter l’étoile jaune, pour la deuxième fois. Enfant, S.G. l’avait portée en effet dans la France pétainiste. Pourquoi ces lâches attaques ? Parce qu’il avait chanté la Marseillaise en reggae, et reprenant simplement les paroles que Rouget de Lisle avait écrites lui-même sur le document original, que Gainsbourg finit par acheter aux enchères publiques (135.OOOFF) : « Aux Armes etc. ». Cela créa un remous national. Mais Monsieur « Ginsburg » comme S.G. aimait s’appeler parfois, triompha et devint très populaire en mettant ses adversaires au pas. Les bérets rouges et parachutistes compris ! C’est alors qu’il décocha cette terrible libelle à Michel Droit : « On n’a pas le Con d’être si Droit !» Une sorte de verlan ? « On n’a pas le Droit d’être si Con », d’être si antisémite ordurier et outrancier? Certainement. Passons.

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Des spécialistes bien Français vous diront que les Fiançais sont un Peuple issu de métissages multiples et variés. Discours vrai mais hypocrite puisqu’ils se réfèrent à des métissages anciens qui ont formaté le Français dit de souche et fait de lui cette espèce de chien hargneux qui déteste les autres Français dit de papiers. On pourrait citer les belles pages de Rousseau sur ces métissages anciens, qui montrent comment les peuples européens se sont mélangés, mêlés et lentement transformé leurs caractères physiques. Le phénomène a continué avec cette vérité que les métissages d’aujourd’hui sont devenus planétaires. La France, pays des statistiques farfelus est aussi concernée puisque le pourcentage des Français de souche issus des croisements divers est très important. Les faciès vont donc changer !

Malgré ces faits observables, on continue à faire comme si la France était un Pays de race très blanche. Regardez rien que les journaux, magazines, les publications avec photos etc. des institutions publiques (mairie, Caf, Conseil régional etc.). Que voit-on dessus ? Des Blancs comme il faut. Un lycée catholique fait-il une pub pour attirer de nouveaux élèves pour la rentrée prochaine, vous ne voyez que des jeunes blancs bien comme il faut. Et pourtant, les rues, les quartiers sont pleins de mondes d’origines raciales diverses. On refuse de les assimiler par une commune éducation de valeurs culturelles, et en lieu et place on tient des discours très souvent fallacieux fondés sur une vision albo-ethnocentriste de la société française. On parle alors de minorités ethniques, pourtant françaises, à intégrer, et on construit des études statistiques qui, loin de favoriser l’intégration (comme ils disent), fondent et enracinent davantage le sentiment xénophobe et raciste des Français de souche. Le Français de souche est un être si tourmenté intérieurement qu’il n’arrive plus à cacher ses sentiments de haine des autres. Pourtant il donne des leçons aux autres sur les Droits de l’Homme !
Tout fonctionne en contradiction totales des principes de la République : Liberté-Égalité-Fraternité. Le divorce est énorme entre le triptyque des beaux principes républicains et le fonctionnement raciste de la société française. Combien de ministres Noirs y a-t-il dans le gouvernement français ? Et pourtant des Noirs pourraient occuper le poste de PM, voire de PR, et servir très positivement la France.

On peut conclure que ce n’est pas l’excellence qui prime en France mais la couleur de peau. On comprend pourquoi les Noirs sont exclus de ce dispositif honteux et hypocrite. On leur barre la route à tous les niveaux. Ils s’en rendent bien compte et protestent à travers des associations absolument impuissantes. Le racisme anti-Noirs en France est une force trop enracinée et très vivace. L’espoir d’un bouleversement, à entendre les Noirs, n’est pas permis. Défaitisme ? Non, réalisme devant une société qui n’est pas comparable aux États-Unis par exemple.

Jusques à quand cette société française raciste et xénophobe ? Jusqu’à l’apparition d’un nouveau Peuple de nouveaux Français de souche sans doute, une autre nouvelle souche ! Avec de nouvelles habitudes et tendances, une nouvelle culture ! Il faudra passer par un chambardement pas possible avant une éventuelle nouvelle harmonie, comme nous apprend les deux mille ans de l’Histoire française. Mais à voir certains Français de souche fuir et s’installer à l’étranger, on peut douter que l’Histoire se répète !
Agôn PICDAGOU.