+Aujourd'hui le Maroc+ indique que la crise actuelle des enseignants contractuels « dénote une fois de plus le déficit de communication de notre administration, car si des dizaines de milliers de jeunes demandent aujourd'hui à être intégrés dans les rangs des fonctionnaires, c'est que leur statut initial ne leur a pas été expliqué clairement le premier jour ».
« Et le fait que l'administration tente aujourd’hui de trouver un terrain d'entente avec eux pour débloquer la situation est de nature à confirmer l'erreur initiale des pouvoirs publics. Car, si au moment de passer leurs concours et examens d'entrée, on leur avait fait signer un document officiel où ils reconnaissaient expressément comprendre leur statut futur de contractuel, l'administration serait aujourd'hui dans une posture bien plus confortable et ne chercherait pas à éteindre le feu par tous les moyens », explique-t-il, déplorant « une déviation du sujet principal, qu’est l’amélioration de la qualité de l'école ».
Commentant la demande d’Oxfam à l'Union européenne pour classer le Maroc comme paradis fiscal, +l’Economiste+ note que la holding d'associations ouvre donc un nouveau thème médiatique: les paradis fiscaux.
S'il s'agit, pour Oxfam, des « quelques petites zones franches » du Royaume, « alors il faudra que le Maroc y soit en compagnie de l'Irlande et des Iles anglo-normandes ». Mais s'il s'agit des activités échappent au fisc par fraude, « il faudra qu'Oxfam donne un coup de main pour que tout le monde paie ses impôts », relève le quotidien, estimant ce travail « compliqué », du fait que l’État n'y est pas soutenu par les hommes politiques et que l’économie informelle reste une question épineuse.
+L’Opinion+ rapporte que la vice-présidente de la Banque européenne d'investissement (BEI) en charge des activités de la Banque au Maghreb, Emma Navarro, effectuera les 11 et 12 mars sa première visite au Maroc.
Lors de cette visite, Navarro rencontrera des membres du gouvernement ainsi que des représentants du monde diplomatique et financier et procédera à la signature d'un accord de financement en vue de renforcer l'infrastructure autoroutière du Maroc et d'un protocole d'entente avec la Caisse Centrale de Garantie, précise le journal.
Au registre sportif, +Assabah+ relève que le Wydad de Casablanca a pris un sacré coup après leur défaite, samedi à Abidjan, face à l’ASEC Mimosas (2-0), lors du match comptant pour l’avant-dernière journée de la phase de poules de la Ligue des champions d’Afrique.
Mais malgré cette déconvenue, le WAC garde toutes ses chances de qualification en quart de finale de la compétition puisque les Casablancais demeurent en 2e position de leur groupe et gardent donc leur destin en main, précise le journal.
En cas de victoire sur Sundowns lors de leur prochain et dernier match de cette phase de poule, les Rouges partageront la tête du classement avec les Sud-Africains, avec un total de 10 points.
Et si dans l’autre match, l’ASEC Mimosas réussit à battre Lobi Stars du Nigeria, les Ivoiriens rejoindront le duo de tête ce qui signifie que les trois équipes pourraient se partager la première place. Dans ce scénario, le Wydad tire son épingle du jeu. Si les Nigérians sortent vainqueurs face à l'ASEC, le WAC est qualifié, quel que soit son résultat face à Mamelodi.
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