Revue de presse du mercredi 31 juillet 2019
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Togo
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A la Une : l’affaire de prétendus braqueurs, la grève annoncée du personnel de l’EDITOGO
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Deux présumés braqueurs tués le week-end dernier par les éléments de la Police nationale
« Exécution sommaire de prétendus braqueurs/Braquage : Opération "pétard mouillé" de la police », affiche L’Indépendant Express en sa manchette.
« Fin de parcours dimanche 28 juillet 2019 de deux citoyens togolais présentés comme des braqueurs à Lomé. Ils étaient repérés par une patrouille de la Police nationale. Selon la version de la police, l’un est de nationalité ghanéenne et l’autre, togolais de nationalité surnommé « Cimetière » étaient déjà identifié dans un récent braquage au quartier Casablanca à Lomé. Mais au lendemain des faits, les proches parents des victimes sortent et donnent une version totalement contraire à celle initialement livrée par la police. Une sortie qui amène à poser des questions sur ce qui s’est réellement passé entre les présumés braqueurs et la police cette nuit du 27 au 28 juillet 2019. S’agit-il donc d’une opération pétard mouillée ? » L’intégralité de l’article à lire aux pages 3 et 4 du journal.
La grève du personnel de l’EDITOGO prévue du 6 au 8 août 2019
« La décision d’observer une cessation de travail », relève ce matin le quotidien Liberté « a été prise lors de l’Assemblée générale organisée le 25 juillet 2019. »
« La cessation de travail annoncée est donc destinée à attirer l’attention de la Direction Générale sur la non-application de ces mesures d’accompagnement. Sans doute, les principales revendications sont le versement des 20.000 et 30.000 F de primes forfaitaires, l’application des 10% de valorisation de l’indice salarial et l’octroi des 8000 F et 6500 F accordés en 2018 », indique le journal.
A la Une également, Hôpital Saint-Pérégrin, un centre dit de référence dont la pose de la première a été effectuée en février dernier par Faure Gnassingbé
« (…) Quinze (15) mois ont été retenus pour que le joyau tant vanté puisse sortir de terre, c’est-à-dire la fin des travaux de construction de l’Hôpital Saint-Pérégrin », rappelle l’hebdomadaire La Manchette dans sa livraison du jour.
« Seulement, de l’annonce des travaux en février 2019 à aujourd’hui, déjà six (06) mois se sont écoulés, mais rien n’est encore fait sur le site réservé à la construction du fameux hôpital de référence dans la préfecture d’Agoè-Nyivé. Outre la pierre inaugurale du chef de l’Etat, pas de truelles, même pas de brouettes vides ou des papiers d’emballage de ciment ne sont visibles sur le chantier. (…) », déplore le journal.
Et de s’interroger : « Qu’à cela ne tienne, le chef de l’Etat togolais nous a-t-il posé un lapin ? »
Edem A.
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