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Faits de société, politique et sécurité au menu des journaux burkinabè

Burkina-Faso - Societe
Les journaux burkinabè abordent essentiellement ce mercredi des sujets liés à la politique, à la sécurité et aux faits de société.
Le quotidien national Sidwaya évoque la problématique de la gestion des boues de vidange, affichant à sa Une: «Une sempiternelle équation pour Ouagadougou».

Selon le journal, environ 900 à 20 000 m3 d’excréments sont quotidiennement tirés des fosses d’aisance et septiques des familles ou des services dans la ville de Ouagadougou.

«En dépit des trois stations de traitement de l’Office national de l’eau et de l’assainissement (ONEA), la gestion de cette masse importante de déchets organiques demeure un défi pour les populations et les autorités municipales», fait remarquer Sidwaya.

Pour sa part, Aujourd’hui au Faso renseigne que l’Office nationale de sécurité routière (ONASER) vient de lancer une opération de sensibilisation des élèves et des étudiants.

Le même quotidien privé revient sur la conférence de presse animée, hier mardi à Ouagadougou, par le Mouvement patriotique pour le salut (MPS) du Pr Augustin Loada, titrant: «Situation sécuritaire au Burkina Faso : Etre plus intelligent que les terroristes, voilà la solution du MPS».

A ce sujet, Le Pays met en exergue ces propos du président du MPS, Pr Augustin Loada : «Le régime actuel a créé et exacerbé les clivages au sein de notre armée».

Parlant de cette sortie politique du Pr Loada, Sidwaya fait remarquer que «le MPS plaide pour le renforcement des effectifs militaires».

De son côté, L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés burkinabè, aborde la deuxième édition du Forum de Paris sur la paix qui s’est ouverte, hier mardi 12 novembre 2019 sur les rives de la Seine, en France.

Le journal rappelle qu’après la première édition, tenue dans la foulée du centenaire de l’Armistice célébré en novembre 2018, avant de souligner qu’il s’agit d’«une rencontre censée être internationale, même si, en réalité, ça ressemble à un Sommet France/Afrique élargi à quelques autres Etats qui n’ont pas voix au chapitre».