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Vaccination par nanoparticules injectables : Kenya, Malawi, … possibles zone tests

Afrique - Societe
Le milliardaire américain Bill Gates, à travers sa fondation, finance un projet de marquage et de vaccinations sous-cutanés encapsules dans les nanoparticules. Des enquêtes d’opinion auraient été lancées au Kenya, au Malawi…
Si ces enquêtes débouchaient sur des avis favorables, ces deux pays africains, en plus du Bangladesh, pourront servir de zones de tests. Une partie de leurs populations recevront donc des nanoparticules injectables sous la peau. Elles émettront une lumière fluorescente visible à l’aide d’un smartphone modifié.

Cette invention des ingénieurs du Massachusetts Institute of technology (MIT) aux Etats Unis vise à confirmer si une personne est bien vaccinée ou non. Les carnets de vaccinations classiques seront remplacés par de microscopiques boîtes quantiques.

Selon lemonde.fr/afrique, « L’idée est d’inscrire sur le corps lui-même la preuve du vaccin, dans des pays en développement où les cartes de vaccination en papier sont souvent erronées ou incomplètes, et où les dossiers médicaux électroniques inexistants ».

Des tests ont été effectués sur des rats. La seconde phase sera celui sur des êtres humains. « Les ingénieurs ont passé beaucoup de temps à trouver des composants à la fois sûrs pour l’organisme, stables et capables de durer plusieurs années », apprend-on.

Après plusieurs recherches, les ingénieurs ont retenu finalement une injection composée de nanocristaux à base de cuivre de 3,7 nanomètres (nm) de diamètre, et encapsulés dans des microparticules de 16 micromètres. L’injection se fera par un patch de microaiguilles de 1,5 mm de longueur. Ensuite, « les microaiguilles se dissolvent et laissent sous la peau les petits points invisible à l’œil nu, mais repérable par un smartphone spécial. En décembre dernier, des chercheurs du MIT ont présenté leur chef-d’œuvre ».

Toutefois, selon toujours lemonde.fr/afrique, « La limite du concept est que la technique ne sera utile pour identifier les enfants non-vaccinés que si elle devient l’outil exclusif. En outre, les gens accepteront-ils de multiples marquages sous la peau pour chaque vaccin? Et qu’adviendra-t-il des points quand le corps des enfants grandira ? ».

A.H.