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Andreas Lubitz ! C’était le 24 mars 2015.

Togo - Opinions
ON SAVAIT, on N’a RIEN FAIT !

On savait qu’Andreas Lubitz allait commettre une monstruosité mais on l’a laissé faire ! Qui savait ? Ses médecins bien sûr, qui savaient qu’il était un danger ambulant aux tendances psychiques, disent-ils, suicidaires irréversibles ; mais ils ne l’ont pas dénoncé à son employeur, se contentant de lui prescrire un repos médical qu’il n’a pas pris puisqu’il était ressorti libre du cabinet médical plutôt que d’être conduit et interné dans une clinique spécialisée. Ce qui l’aurait empêché de tromper son employeur et de monter dans l’avion qu’il tenait à fracasser contre une montagne.

Quel fonctionnement de la société dite moderne dans laquelle on laisse, par respect du secret médical, des gens de cette espèce comme on lâcherait le cœur léger un loup dans une bergerie ou un renard dans un poulailler sous prétexte que le loup ou le renard en question est devenu un doux agneau car blessé et moribond ! Mais voilà, même gravement malades Andreas Lubitz, le loup et le renard restent toujours dans leur nature vraie et profonde ce qu’ils sont en réalité. N’y voyez pas sophisme commode. Ne dit-on pas que l’homme est un loup pour l’homme, et la première syllabe de Lubitz (Lu-, prononcer loubitz) l’indique clairement diraient ceux qui sont versés dans cet art !

A vrai dire, ne fallait-il pas requalifier ses soi-disant « tendances psychiques suicidaires » en autre chose comme par exemple « assassin potentiel » ou « assassin en puissance » et le surveiller de près ? Il s’agissait dans son cas d’un mental irréversiblement abîmé – donc de psychiatrie – plutôt que de pulsions psychiques que les médicaments pouvaient mater à l’occasion. Or le criminel n’entendait pas se soigner parce que son mental était à jamais dévoyé et comme mort à l’influence de ce qu’on appelle « âme » à savoir cette étincelle divine qui reste, comme on sait, étrangère à ce qu’on désigne maladroitement de « psychique ». Car comment admettre qu’une étincelle divine émanée de Dieu perde sa nature divine parce que prisonnière d’un mental défroqué qui ne lui obéit plus ? Les liens avec le mental aussi appelé esprit sont rompus et l’individu n’existe plus qu’en véritable automate sous l’effet des réactions des chimies organiques. J’espère que vous ne me suivez pas dans ce labyrinthe ! Je ne suis ni psychiatre ni psychologue ! Ni allergologue au demeurant.

Cependant, croyez-vous que c’était priver de liberté Andreas Lubitz que penser de prime abord à lui prodiguer une excellente santé qui lui eût donné l’opportunité d’exercer pleinement et en toute responsabilité sa liberté sans chercher à nuire à celle des autres ? N’est-ce pas se moquer de la liberté que laisser des gens du genre d’Andréas Lubitz non seulement malades mais encore menteurs et dangereux ; des gens qui choisissent de s’anéantir mais en entraînant d’autres dans leur acte de démence criminelle sans leur demander leur avis. Et quelle démence je vous demande ! Celle, dans le cas d’espèce, d’un ridicule qui voudrait que le monde soit aux petits soins avec lui en le laissant devenir pilote en chef avec ses tares psychiatriques incurables ! Or son état mental délabré – que signalent ses photos - aurait dû alerter et conduire à ce qu’on lui barrât à jamais l’accès à toute cabine de pilotage, puisque son mal lui interdit de chevaucher une mobylette ! Quel monde et quelle société moderne incohérente, anarchique qui ne secrète que des monstres ! Mais ses médecins n’étaient pas les seuls à savoir !
Sa copine ou petite amie savait !! A laquelle il tint des propos de vrai psychopathe profondément atteint ; propos pourtant sans équivoque. Mais elle ne fit rien, aveuglée visiblement par l’ « amour » (dans Lubitz il y a bit…) et sans doute attendant secrètement, emportée par une imagination délirante, de devenir la nouvelle Eva Braun de l’imminent nouveau Führer Andréas Lubitz dont elle était enceinte, à ce qu’il paraît. Or son état de future mère aurait dû éveiller la naturelle méfiance féminine de toute femme normale attendant un enfant, sentant son homme battre gravement la campagne. Mais elle n’a pas compris le cas du couple nazi maudit puisque Hitler tout en jouissant d’Eva Braun ne l’engrossa jamais, soucieux de ne pas laisser un souffre-douleur. Peut-être. Ou tout simplement Hitler était un infertile…

Et si Andréas Lubitz, comme penserait un gourou du pays de Gandhi, engrossa sa compagne dans un dessein bien précis, connu de lui seul ? A supposer que cela résultât de son étreinte coïtale à lui et que cela ne fut pas un accident survenu un soir d’ivresse. Un calcul monstrueux, celui en vue de sa réincarnation prochaine espérant entrer en possession d’un corps plus sain qui lui donne l’occasion de réaliser, enfin, son ambition de pilote en chef sain d’esprit dans un corps sain sans maladie psychiatrique. Où aurait-il alors appris ce type de réincarnation qui se moque de la vérité puisqu’en renaissant on a le même plat de couleuvres à avaler, enseigne la théorie, ou la doctrine, du karma et de de la réincarnation. Et comme le monstre Andréas Lubitz refusera de se résigner en renonçant à son ambition de devenir pilote en chef – la résignation est l’excellence vertueuse même -, il ne lui restera plus qu’à commettre le même type de crime. Mais la Hiérarchie Spirituelle veille, qui décidera de son retour sur la Terre ou ailleurs, et & ou dans un autre règne inférieur, et pour des éons ! Dirait le saint Brahmane. Mais qui sait, l’Amour de Dieu est si incommensurable…. même si le crime à la manière d’Andréas Lubitz n’est pas le premier du genre. On dirait même qu’il prolifère, témoins les récents attentats de Paris et de Bruxelles.


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On savait en effet que Mohammed Atta, cet individu à la face simiesque de shooter impénitent et d’homosexuel libidineux et sa clique d’assassins maudits de même obédience criminelle que lui allaient commettre des coups d’éclat de grande horreur le 11 septembre 2001. Sur les Twin Towers à New-York et ailleurs. Mais on les laissa faire !, bien qu’on les eût entendu tenir des propos étranges et se livrer à des activités qui tranchaient avec leur vie ordinaire. Des drogués passablement fortunés sinon pas du tout, qui trouvaient néanmoins leur bonheur à s’investir dans des loisirs coûteux. Ce paradoxe n’éveilla pas l’attention. Il faut dire que ce serpent de Mohammed Atta avait aussi une bonne couverture : il était étudiant et eut même à conclure des études doctorales. Mais son directeur de thèse ne comprit pas les paroles étranges qu’il lui tint à la fin de ses recherches… Il était peut-être étudiant mais étudiant terroriste certainement. Or on n’a rien fait pour lui barrer la route afin de lui ôter l’envie de tuer les autres de la façon qu’on sait! Toutefois, on liquida son maître satanique, Oussama Ben Laden, qui le recruta pour commettre ces forfaitures gigantesques. C’est que ces sinistres individus étaient pilotés par le même type de mental pourri : se venger des moqueries de leurs demi-frères en prouvant qu’ils étaient des surhommes nés de femmes dignes.

En effet, Ben Laden était né d’une Syrienne et ses demi-frères le lui faisaient sentir. En fait, pour leur prouver qu’il était un grand Saoud, il opta pour le crime de masse et l’idéologie de la bassesse. Mais l’hypocrite qu’il était à vrai dire, et qui ne devait pas faire ces cinq prières tous les jours, se grimait, se tapait des putes et regardait K7 porno à longueur de journée - signes évident d’un malade mental incurable qui ne devait pas se laver beaucoup, sentant donc le bouc en permanence -, fut délivré de son terrible enfer des sens de la façon expéditive qu’on nous a relatée. Cependant, il faut être un pauvre type comme ce soldat Américain qui se vante d’avoir descendu un tel mec ! Qu’il le fit en se rendant tout seul au domicile du prématurément vieilli par le vice et la luxure – Ben Laden paraissait très vieux une fois « dégrimé » sinon démaquillé alors qu’il n’avait que quarante-cinq ans je crois ! -, cela pourrait se comprendre… Qu’importe dira-t-on puisque les criminels, comme dans tous les cas de semblables entreprises sataniques, finissent par être châtiés d’une façon ou d’une autre.


*

Bref, on sait toujours quand un acte monstrueux se trame et va se perpétrer car la Force du Tout-Puissant, le Saint-Esprit pour être précis, est tellement Omnisciente, Omnipotente, Omniprésente que personne ne peut se dérober à Son action, laquelle délie les langues, fait parler les criminels malgré eux un langage banal mais étrange. Sans parler des gestes apparus dans leurs comportements… Mais qui fait attention dans ce monde hyper malade d’une course démentielle au plaisir à tout prix dispensé par le matérialisme facile, vil et inhumain ? Personne !

Tout simplement, on ne vit plus en société et les « paroles confuses » - comme dirait Baudelaire dans son poème fameux (« Correspondances ») -, des « paroles confuses » et des comportements insolites qui devaient secouer l’attention, dresser l’oreille et pousser à la dénonciation, tapent la vue et sonnent aux oreilles comme l’eau sur les plumes du canard. L’homme matérialiste est mort parce que la société moderne a cessé d’être une humanité vivante. Elle a perdu son âme : le sens de la communauté dont le sang reste le devoir de solidarité existentielle active.

Attachez vos ceintures, ou détachez-les ! Qu’importe désormais !

Agôn PICDAGOU