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Yark se trompe d époque et de pays
Par
Tadjin
11/27/2019
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Yark prend des Togolais comme pour des imbéciles ? Franchement je ne sais pas si vous avez bien observé son intervention concernant la tentative d insurrection on dirait que lui même ne croit pas de ce qu il dit regardez bien la vidéo de cette conférence de presse il n est pas à l aise ! Avez vous déjà entendu ou voir une tententive d insurrection avec une dizaine d hommes ? Tous nos dirigeants souffrent semble t-il d une pathologie que le monde scientifique n a pas encore découverte !
C est la preuve qu ils sont très fébriles et que la peur leur fait perdre la raison !
Il va y avoir d autres montages plus graves afin de museler l opposition la vraie ! Mais je me demande si notre opposition a un plan B ce que je ne le crois pas !
Si yark et la minorité pilleuse ont très peur c est à cause d un seul homme nommé TIKPI ATCHADAM rappelez vous de la position de ce dernier NON AU 4È MANDAT DE FAURE et si Faure décidait de briguer un quatrième mandat alors là il appliquerait ce qu il a annoncé dans son discours de TCHAMBA !! comme c'est plus que certain que Faure veut briguer un 4 ème mandat alors il faut faire tout possible pour neutraliser le PNP car c'est le seul parti de l opposition qui leur fait peur c'est la réalité donc il cherchent par tous les moyens y compris les plus diaboliques pour neutralité le PNP ET j'ai pitié pour certains éléments des forces de l ordre qui seront sacrifiés à leur insu afin de justifier
Toute prochaine interdiction des marches en décrétant l état d urgence c'est la raison pour laquelle je lance un appel à toute l opposition de penser au plan B !
Yark et Trumoa disent connaître les auteurs des derniers événements !! vraiment ça à la limite d une démence ! La question que je me pose ils doivent connaître également les personnes qui ont fait des hold up armés ces derniers temps à Lomé et ses environs mais jusqu'à présent ces gens ne sont pas encore arrêtés et ils envigent prochainement mettre la main sur ceux qui considèrent comme des malfaiteurs aux ordres d un parti politique de l opposition ! Si on racontait cette histoire à un aveugle ce dernier retrouverait l usage de ses yeux
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Franc CFA: avec l’annonce de Patrice Talon, «c’est un tabou qui est brisé»
Par
LPV
11/15/2019
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Franc CFA: avec l’annonce de Patrice Talon, «c’est un tabou qui est brisé»
Par Stanislas Ndayishimiye Publié le 08-11-2019 Modifié le 08-11-2019 à 18:13
« Nous restons ouverts à une réforme ambitieuse » du franc CFA, a déclaré le ministre français de l’Économie, Bruno Le Maire, mais « il y a une condition… C’est que la proposition vienne des États membres de la zone franc ». Or justement, le président béninois Patrice Talon a évoqué ouvertement, pour la première fois, le retrait de France des réserves de change. L'analyse de l'économiste Martial Ze Belinga au micro de Stanislas Ndayishimiye.
RFI : Le président béninois Patrice Talon vient d’annoncer le retrait des réserves de change du CFA de la Banque de France. Et c’est la première fois qu’un chef d’État des pays concernés en parle ouvertement. Est-ce que c’est un tabou qui est brisé ?
Martial Ze Belinga : De fait, c’est un tabou qui est brisé, mais qui est en réalité inéluctable. De la même façon que la fin du franc CFA est inéluctable, il fallait bien commencer par quelque chose. Et je pense que les réserves sont l’élément le plus saillant et qui cristallisent le plus les attentes. Donc, c’était fatal qu’on en arrive là .
Il n’a en revanche pas annoncé le calendrier. Est-ce que cela va se faire dans quelques mois, dans un an ?
Oui, cela dépend de plusieurs facteurs, parce qu’il y a un cadre juridique qui fixe des obligations de remonter au moins 50% des réserves au Trésor public français. Maintenant, il y a une décision politique. Il va falloir donc négocier, entrer en discussion pour sortir les réserves africaines du Trésor public. Donc, cela peut prendre un certain temps, mais la démarche est en cours.
Si je comparais avec les derniers statuts de la Biac [la Banque internationale pour l'Afrique au Congo, ndlr] par exemple, en Afrique centrale, les statuts de 2017, on voit que la quotité est de 50%, qu’on peut aller jusqu’à 40%. On voit que les pays peuvent placer aussi une partie de la réserve à la BRI [la Banque des règlements internationaux]. Donc, cette possibilité de toute façon, elle existe et ce sera une négociation politique. Mais il n’y a pas de problème technique à proprement parler.
Les politiques français disent que finalement, la France ne profite pas de ces réserves. Est-ce que c’est vrai ?
Si le Trésor public français peut rémunérer les réserves, c’est bien que lui-même va trouver cet argent quelque part. Ces réserves sont rémunérées à des taux relativement bas. C’est autour de 0,75%. Donc si un trésorier vous rémunère 0,75%, c’est bien qu’il gagne plus que 0,75% lui-même. C’est le fonctionnement normal des marchés financiers aujourd’hui. C’est parce que ces réserves sont placées sur les marchés financiers, marchés monétaires, marchés de court terme et marchés financiers qui sont des marchés de long terme. Ça, ça va échoir désormais aux banques centrales africaines. C’est important. Ce sera leur responsabilité, sous le contrôle des sociétés africaines désormais.
Il s’agissait en fait d’un blocage politique ?
C’est un blocage politique, c’est une rente ancienne, c’est une rente historique. Pendant longtemps, 100% des réserves de la zone étaient conservées au Trésor public français. Et même quand on est passé à 65% dans les années 1970, les banques centrales africaines continuaient de verser quasiment 100% au Trésor public français. Donc, de toute façon, c’est une rente et ça fait partie des rentes coloniales indubitablement.
Une rente coloniale... À un moment donné, il faut que les sociétés s’expriment - et là les sociétés africaines se sont exprimées - il faut que les sociétés politiques africaines s’expriment. C’est encore à mon sens un petit peu insuffisant parce qu’il faut savoir que la monnaie est aussi du ressort des Parlements. On l’a oublié. On pointe le regard sur les chefs d’État africains, soit, mais dans les Constitutions africaines, les Parlements africains ont leur mot à dire.
On est très surpris de voir par exemple, et moi à titre personnel, que les oppositions politiques [ne se sont pas] empressées de prendre la parole sur ce point-là . Alors qu’elles n’ont pas été consultées pour la dévaluation, elles ne sont pas consultées pour les mouvements de l’euro qui impactent le franc CFA. Donc, en fait, on est à un stade où il va falloir effectivement que les hommes politiques prennent leurs responsabilités, de la même façon qu’un certain nombre d’auteurs, d’intellectuels et un mouvement social ont pris [les leurs].
Mais je crois que pour aller plus loin, puisqu’on est dans un processus de décolonisation économique, il s’agit aussi pour les sociétés coloniales, et là on parle de la France en particulier, de comprendre son intérêt, l’intérêt que les sociétés coloniales vont avoir à générer un nouveau rapport avec le monde. Et ce rapport doit être un rapport qu’en théorie des jeux, on appelle des jeux à somme positive, gagnant-gagnant. Il faut construire des jeux gagnant-gagnant désormais. Et les anciens modèles ne fonctionneront pas. Ils ne fonctionneront plus entre les Africains et l’Europe, entre les Africains et le reste du monde, mais ils ne fonctionneront plus non plus entre une partie des élites africaines et les peuples africains. Et le franc CFA en fait n’est qu’une partie de ces questions-là .
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Franc CFA: «Patrice Talon est allé trop loin»
Par
LPV
11/15/2019
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Franc CFA: «Patrice Talon est allé trop loin»
Il y a une semaine, le président béninois Patrice Talon a annoncé que, très rapidement, le franc CFA ne serait plus garanti par le Trésor français. Abdoul Mbaye a été haut fonctionnaire à la BCEAO puis Premier ministre du Sénégal. Aujourd'hui, il dirige le parti d'opposition ACT et met en garde contre des propos hâtifs.
« Le Trésor français ne doit plus garder les réserves de change des pays CFA », dit le président béninois Patrice Talon. Qu’en pensez-vous ?
Abdoul Mbaye : J’ai été surpris d’entendre une telle déclaration parce que cela correspond à une réforme majeure du franc CFA, puisque retirer les réserves de la Banque centrale auprès du Trésor français, c’est remettre en question le dispositif des garanties mises en place pour assurer la convertibilité du franc CFA en cas d’absence de réserves détenues par la Banque centrale [BCEAO]. Je pense que le président Talon est peut-être allé un peu loin. C’est peut-être une piste de réforme, mais, dès lors qu’il s’agit de question délicate -il s’agit de question monétaire, je vous le rappelle-, il est important, lorsqu’on commence à conduire de telles réformes, d’également évoquer les solutions alternatives.
Quand vous dites qu’il est « peut-être allé un peu loin », craignez-vous une réaction trop vive de la part des usagers du franc CFA ?
Exactement. En matière de monnaie, il faut craindre les comportements d’anticipation qui ont malheureusement des effets terribles, parfois massifs sur l’économie réelle. Je suis persuadé qu’il est allé un peu loin dans sa déclaration. Et dès lors qu’il s’agit d’une réforme majeure, et peut-être même, la plus importante qui pourrait affecter le franc CFA, je pense également qu’il aurait dû attendre, disons une décision unanime de la conférence des chefs d’État de l’UEMOA [Union économique et monétaire ouest-africaine] avant de faire une telle déclaration.
Ce que dit le président Talon, c’est que cette réforme est souhaitée par tous, y compris par le gouvernement français actuel et par le président Macron ?
Vous me donnez l’occasion peut-être d’également souligner des propos qui ont été tenus par le président Macron et que je trouve aussi maladroits. Il avait dit : « Nous sommes ouverts à une réforme du franc CFA ». Mais la France n’a pas à être ouverte à une réforme du franc CFA. La réforme du franc CFA, elle dépend des chefs d’État qui sont membres de l’Union économique et monétaire ouest-africaine, je crois que c’était cela la bonne réponse.
La réforme du franc CFA est devenue aujourd’hui nécessaire. Simplement parce qu’elle est réclamée par les citoyens de ces pays membres de l’UEMOA. Il y a une réforme qui doit notamment porter sur la dénomination : le « franc », je crois que ça gêne beaucoup. Une réforme qui est peut-être nécessaire concernant le principe de fixité [par rapport à l’euro]. Concernant la garantie de convertibilité donnée par la France, et il faut d’ailleurs nuancer, il s’agit d’une garantie de continuité de convertibilité en cas d’insuffisance de réserve, plutôt qu’une garantie de convertibilité, la convertibilité du franc CFA étant assurée par la Banque centrale grâce à ses réserves. Sur ce plan également, il y a peut-être des réformes qui peuvent être engagées, mais il faut les étudier sérieusement et se garder de déclarations qui pourraient conduire à des comportements dommageables de la part des usagers du franc CFA, comme vous le disiez tout à l’heure.
Ce que propose le président du Bénin, c’est que ces réserves, qui sont pour l’instant domiciliées auprès du Trésor français, soient déménagées auprès de diverses banques centrales : américaine, chinoise, japonais et européenne…
C’est une logique bancaire simple, pure. « Je compte sur vous pour me faire un découvert si jamais il arrive que je n’aie plus de réserves disponibles qui me permettraient de disposer à ce moment-là de devises pour continuer à assurer la convertibilité du franc CFA ». Et en réponse, celui qui prend cet engagement de découvert vous dit : « Oui, mais déposez chez moi une partie de vos réserves ». Et c’est le cas pour 50 %. Donc remettre en cause ce dépôt conduit à remettre en cause la garantie de continuité de convertibilité. Ça n’est pas une question simple, c’est une question technique. Je crois qu’il faut laisser la Banque centrale y travailler, faire des propositions à la conférence des chefs d’État et laisser la conférence des chefs d’État prendre une décision. Cela peut prendre la forme, comme c’est le cas aujourd’hui, d’une garantie de découvert. Mais cela peut prendre aussi la forme d’un crédit qui sera accordé par une banque centrale qui peut être la Federal Reserve Bank, qui peut être la BoJ du Japon [Banque du Japon], mais il faut préparer tout cela.
Et est-ce que justement la banque centrale des États-Unis ou celle du Japon peut offrir la même garantie de continuité de convertibilité à la BCEAO ?
Très sincèrement, ça ne peut pas être une négociation de quelques jours, cela ne peut pas être une négociation facile. Il est certain que les liens historiques qui existent entre les pays concernés et la France, également le passé d’un mécanisme qui jusqu’à présent fonctionnait dans les deux sens : Le sens le plus facile, celui du dépôt dans les comptes du Trésor français, mais également le sens du découvert accordé. Vous vous souviendrez qu’avant la dévaluation de 1994, nous avons été un moment dans ce contexte… Il est certain que demeurer dans le statu quo serait plus facile, mais il est possible également de négocier ailleurs. L’important, si la décision politique est prise, c’est de mener de nouvelles négociations de manière fort discrète et de les porter à la connaissance du public, lorsque tout sera fin prêt et que le public sera rassuré sur la continuité, le maintien de la convertibilité du franc CFA, même en cas d’épuisement des réserves de la BCEAO.
Patrice Talon souligne le fait qu’une monnaie a deux valeurs, une valeur technique et une valeur psychologique. Et que sur le second plan, il est nécessaire que les réserves de la BCEAO changent de domicile…
Il est vrai que le débat sur le franc CFA a pris une dimension psychologique parfois excessive, mais il est question de monnaie. Il faut pouvoir céder sur ce qui peut l’être assez facilement. Il ne faut pas par contre jeter le bébé avec l’eau du bain simplement parce que des personnes, qui ne comprennent pas toujours tous les enjeux et même les mécanismes qui nous lient à la France, exigent des réformes. On peut également rappeler qu’effectivement, il y a un aspect psychologique qui se rattache à la monnaie et qui est la confiance. Or regardez en Afrique de l’Ouest, le franc CFA est une monnaie forte. Il ne faut pas l’oublier. Vous avez des monnaies nationales qui existent dans plusieurs des pays de l’Afrique de l’Ouest, mais dans ces pays, le franc CFA est prisé, le franc CFA est utilisé comme moyen de thésaurisation. Donc sur le plan psychologique, il y a certes des activistes qui critiquent, qui critiquent parfois fort, justement je les rejoins sur certains aspects de leur critique, mais la monnaie elle-même est une monnaie qui inspire confiance et qui peut être considérée comme une monnaie forte au niveau de l’Afrique de l’Ouest.
Et qui est thésaurisée, dites-vous, par d’autres pays ?
Oui. En Guinée Conakry, le franc CFA est prisé. On aime bien avoir du franc CFA en Guinée.
On parle beaucoup de la réforme du franc CFA en Afrique de l’Ouest, on en parle beaucoup moins en Afrique centrale. Donc, on peut imaginer une réforme uniquement en Afrique de l’Ouest et pas en Afrique centrale ?
Je pense tout de même que, si des réformes importantes devaient être engagées, elles le seraient sans aucun doute en concertation ou à la limite en imitation. Cela se fera dans le cadre d’une coopération qui pourrait être d’ailleurs organisée par l’interlocuteur commun qui est la France.
Certains disent que Paris pousse à une réforme avant le sommet Afrique-France de Bordeaux en juin 2020. Et que ce sont plutôt les chefs d’État concernés en Afrique de l’Ouest qui freinent et qui ne sont pas vraiment pressés de réformer cette monnaie…
Je ne saurais répondre à cette question, mais je pense personnellement qu’il est temps que des réformes puissent être engagées par les chefs d’État africains eux-mêmes. Pour moi, en tant que technicien, je pense que la fixité du franc CFA par rapport à l’euro doit constituer une problématique importante sur laquelle on doit réfléchir. La fixité peut être maintenue, mais il peut d’agir d’une fixité par rapport à un panier de devises, que l’on arrime le franc CFA à autre chose que l’euro. On pourrait avoir des évolutions régulières par rapport à un panier à constituer.
Officiellement, c’est l’année prochaine que le franc CFA doit être remplacé par l’éco des 15 pays de la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (Cédéao). Mais est-ce que ce programme est réaliste à vos yeux ?
Non, il n’est pas réaliste. Je n’y crois pas. Il est impossible de tenir ce délai.
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ALIBABA est reçu depuis hier dans le payis des 40 voleurs
Par
Tadjin
11/15/2019
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Comprenne qui pourra
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La prise en charge de Windows 7 prendra fin le 14 janvier 2020
Par
LPV
11/5/2019
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La prise en charge de Windows 7 prendra fin le 14 janvier 2020
Cycle de vie de support de Windows 7
Microsoft s'est engagé à assurer pendant 10 ans le support de Windows 7, lors de sa parution le 22 octobre 2009. À la fin de cette période de 10 ans, Microsoft cessera de prendre en charge Windows 7 afin de consacrer ses investissements à la prise en charge de nouvelles technologies et de nouvelles expériences. Le jour de la fin de la prise en charge de Windows 7 sera précisément le 14 janvier 2020. Après cette date, l'assistance technique et les mises à jour logicielles de Windows Update permettant de protéger votre PC ne seront plus disponibles pour le produit. Microsoft vous conseille vivement de passer à Windows 10 avant janvier 2020 pour éviter de vous trouver dans une situation où vous aurez besoin d’un service ou d’un support qui ne sera plus disponible.
Que signifie la fin du support pour moi ?
Après le 14 janvier 2020, si votre PC exécute Windows 7, il ne recevra plus les mises à jour de sécurité. Par conséquent, il est important que vous passiez à un système d’exploitation moderne tel que Windows 10, qui peut bénéficier des dernières mises à jour de sécurité pour préserver votre sécurité et celle de vos données. En outre, le service clientèle de Microsoft ne sera plus disponible pour fournir le support technique de Windows 7.
Que dois-je faire ?
Pour la plupart des utilisateurs de Windows 7, la démarche recommandée consiste à passer à un nouvel appareil muni de Windows 10. Les PC d’aujourd’hui sont plus rapides, plus légers mais puissants et plus sécurisés, avec un prix moyen considérablement plus réduit que celui des PC moyens d’il y a huit ans. Notre Guide peut vous aider à choisir un nouveau PC en quelques étapes simples.
Vous souhaitez en savoir davantage sur Windows 10 ? Consultez notre page de présentation pour obtenir plus d’informations.
Puis-je mettre mon PC existant à niveau vers Windows 10 ?
Pour tirer parti des dernières fonctionnalités matérielles, nous vous recommandons de passer à un nouveau PC équipé de Windows 10. Solution alternative, les PC compatibles Windows 7 peuvent être mis à niveau par l’achat et l’installation d’une version complète du logiciel. Pour plus d’informations, consultez Effectuer la mise à niveau vers Windows 10 : FAQ.
Comment puis-je effectuer la mise à niveau vers Windows 10 gratuitement ?
L’offre de mise à niveau gratuite vers Windows 10 a pris fin le 29 juillet 2016. Pour obtenir Windows 10, vous devrez acheter un nouveau périphérique ou, si vous possédez un PC compatible, acheter une version complète du logiciel pour mettre à niveau votre appareil existant. Nous vous recommandons de ne pas installer Windows 10 sur un appareil plus ancien, car certains appareils Windows 7 ne sont pas compatibles avec Windows 10 ou leurs fonctionnalités pourraient être réduites.
Que se passe-t-il si je continue à utiliser Windows 7 ?
Si vous continuez à utiliser Windows 7 après la fin du support, votre PC continuera de fonctionner, mais il deviendra plus vulnérable aux risques de sécurité et aux virus. Votre PC continuera à démarrer et à s’exécuter, mais vous ne recevrez plus de mises à jour logicielles, notamment de mises à jour de sécurité, de la part de Microsoft.
Windows 7 pourra-t-il toujours être activé après le 14 janvier 2020 ?
Windows 7 peut toujours être installé et activé après la fin du support ; toutefois, il sera plus vulnérable aux risques de sécurité et aux virus en raison de l’absence de mises à jour de sécurité. Après le 14 janvier 2020, Microsoft recommande vivement d'utiliser Windows 10 au lieu de Windows 7.
Internet Explorer sera-t-il toujours pris en charge sur Windows 7 ?
La prise en charge d'Internet Explorer sur les appareils Windows 7 prendra également fin le 14 janvier 2020. En tant que composant de Windows, Internet Explorer suit le cycle de vie du support du système d'exploitation Windows sur lequel il est installé. Consultez FAQ sur le cycle de vie : Internet Explorer pour plus d’informations.
Que se passe-t-il si j’exécute Windows 7 Entreprise ?
Si vous utilisez Windows dans le cadre d’un environnement de travail, nous vous recommandons de consulter d’abord votre service informatique ou de vous reporter à la rubrique Prise en charge d’un déploiement Windows 10 pour en savoir plus.
Qu’en est-il de Windows 7 Embedded ?
Les dates de cycle de vie de Windows pour les appareils intégrés, tels que les distributeurs automatiques ou les stations-service, diffèrent parfois de celles des versions de Windows utilisées sur les PC.
Puis-je transférer mes programmes existants vers un nouveau PC fonctionnant sous Windows 10 ?
Pour que vous puissiez bénéficier de la meilleure expérience possible, nous vous recommandons d’effectuer une nouvelle installation de vos programmes et applications sur votre nouveau PC fonctionnant sous Windows 10. Microsoft Store offre de nombreuses applications tierces faciles à télécharger et installer. Ouvrez Microsoft Store dans votre PC fonctionnant sous Windows 10 en sélectionnant l'icône sur la barre des tâches ou en saisissant « Microsoft Store » dans la zone de recherche de la barre des tâches.
Pour tout logiciel qui n’est pas disponible actuellement dans le Microsoft Store, nous vous recommandons de visiter le site web officiel de cette société et d’y télécharger la version de Windows 10. Dans certains cas bien précis, certaines anciennes versions de logiciels peuvent ne pas disposer d’une version mise à jour compatible avec Windows 10.
Comment la fin du support de Windows 7 va-t-elle affecter mes applications de Microsoft Office ?
Votre expérience peut être différente selon la version d’Office que vous exécutez. Pour en savoir plus, consultez Fin de support de Windows 7 et Office. Il est important de noter que Windows 7 ne recevra plus les mises à jour de sécurité, laissant votre appareil vulnérable à toutes sortes de menaces. Par conséquent, si vous exécutez Microsoft Office sur un PC fonctionnant sous Windows 7, nous vous recommandons de passer à un nouveau PC fonctionnant sous Windows 10.
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Togo : l'élection présidentielle aura lieu entre février et mars 2020
Par
LPV
11/3/2019
0
Togo : l'élection présidentielle aura lieu entre février et mars 2020
French.xinhuanet.com|Publié le 2019-11-02 à 05:45
LOME, 1er novembre (Xinhua) -- Au Togo, la Cour constitutionnelle a appelé à organiser la prochaine élection présidentielle entre le 19 février et le 5 mars en 2020, selon un communiqué de la Cour constitutionnelle dont Xinhua a obtenu une copie vendredi.
Le prochain scrutin pour l'élection présidentielle "doit être ouvert sur convocation du corps électoral au plus tôt le 19 février 2020 et au plus tard le 5 mars 2020", indique le communiqué signé par le président de la Cour constitutionnelle, Aboudou Assouma.
M. Assouma a rappelé que le mandat de l'actuel chef de l'Etat togolais Faure Gnassingbé a "débuté le 4 mai 2015, date de prestation de serment, et prend fin le 3 mai 2020", soulignant que le scrutin présidentiel est ouvert 75 jours au plus tôt et 60 jours au plus tard avant la fin du mandant présidentiel en cours.
Le président de la Cour constitutionnelle a en outre fait savoir que la déclaration de candidature est déposée à la Commission électorale nationale indépendante (CENI) 45 jours avant le jour du scrutin.
Peu avant, le président de la CENI, Tchambakou Ayassor, avait fixé trois jours d'opération de révision de la liste électorale qui se déroulera du 29 novembre au 1er décembre 2019.
Déjà , une dizaine de candidats, dont des leaders de partis d'opposition et des indépendants, se sont annoncés pour la conquête de la présidence de la République.
Le président sortant Faure Gnassingbé n'a dit aucun mot sur sa candidature à la présidentielle, alors que des associations de jeunes et des cadres de son parti Union pour la République (UNIR) l'appellent à briquer un quatrième mandat, ce qui est fustigé par des organisations de la société civile et des partis d'opposition.
Arrivé au pouvoir en 2005, M. Gnassingbé a été réélu en 2010 puis en 2015 pour un mandat de cinq ans qui finit en 2020, sous une constitution qui ne limitait pas le nombre de mandat d'un chef de l'Etat.
En mai 2019, une nouvelle constitution a été adoptée et fixe désormais à deux le nombre de mandats de cinq ans pour un président de la République qui doit être élu à l'issue d'un scrutin uninominal majoritaire à deux tours et à la majorité absolue des suffrages exprimés.
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Les innovations du nouveau code foncier
Par
LPV
10/17/2019
0
Togo, LES INNOVATIONS DU NOUVEAU CODE FONCIER
Jun 14, 2018
https://youtu.be/SU9F2wxxPyM
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Togo Nouveau Code foncier et domanial
Par
LPV
10/17/2019
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Togo Code foncier et domanial
http://www.droit-afrique.com/uploads/Togo-Code-2018-foncier.pdf
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Trump appelle à un vote du Congrès, les démocrates bottent en touche
Par
LPV
10/4/2019
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Procédure de destitution : Trump appelle à un vote du Congrès, les démocrates bottent en touche
4 oct. 2019, 14:02
Donald Trump va envoyer à Nancy Pelosi une lettre la «mettant au défi» d'organiser un vote du Congrès sur la procédure destitution. Bien qu'assurés de le remporter, les démocrates refusent. Une preuve de la faiblesse de l'accusation ?
La procédure de destitution visant Donald Trump va-t-elle tourner au fiasco politique pour le camp démocrate ? C'est en tout cas le pari de la Maison Blanche qui, selon Fox News, va envoyer ce 4 octobre une lettre à la présidente de la Chambre des représentants, la démocrate Nancy Pelosi, lui demandant de tenir un vote au Congrès sur la procédure. Une démarche déjà opérée la veille par le chef de file des Républicains Kevin McCarthy, qui avait appelé Nancy Pelosi à mettre fin à l’enquête sur la destitution jusqu’à la mise en place de «règles et procédures équitables», impliquant donc la tenue d'un vote du Congrès.
Or cette option est pour l'heure fermement rejetée par la présidente de la Chambre, qui a fait savoir qu'elle n'avait pas l'intention de laisser les élus du Congrès se prononcer sur la question. «La Constitution, le règlement intérieur et les précédents de la Chambre ne stipulent pas que la Chambre doit voter avant de procéder à une enquête sur la destitution», a ainsi déclaré le porte-parole de Nancy Pelosi, avant qu'elle-même ne réitère cette position.
Mais pourquoi les démocrates refusent-ils un vote qu'ils ont pourtant la certitude de remporter, étant donnée la confortable majorité dont ils jouissent au Congrès ? La tenue d'un tel vote permettrait en fait aux républicains d'avoir accès à tous les documents concernant l'affaire, d'interroger les témoins et d'enquêter eux-mêmes sur les révélations du «lanceur d'alerte». «Les républicains auraient l'opportunité d'obtenir les informations en provenance de toutes les sources, et pourraient les mettre sur la table», explique au média RealClearPolitics une avocate en droit politique, notant qu'avec la procédure pour laquelle ils ont opté, les démocrates étaient les seuls à avoir accès aux informations contenues dans le dossier.
Après le «Russiagate», l'«Ukrainegate» ?
Dès lors, les démocrates auraient-ils des doutes quant à la solidité des accusations formulées ? A l'instar de la soi-disant ingérence russe, qu'ils ont agitée pendant trois ans sans apporter de preuve, les seuls éléments disponibles ne plaident jusqu'à présent pas en leur faveur. Alors qu'ils accusent Donald Trump d'avoir fait pression sur le président ukrainien Volodymyr Zelensky pour enquêter sur le fils de Joe Biden – ancien vice-président de Barack Obama et candidat à la primaire démocrate – la retranscription de l'appel téléphonique entre les deux hommes ne révèle en effet rien d'illégal.
A tel point qu'Adam Schiff, qui préside la puissante commission du renseignement à la Chambre des représentants et supervise l'enquête pour destitution, a sciemment modifié la teneur de l'échange, prêtant à Donald Trump des propos qu'il n'avait pas tenus. «C'est comme cela qu'un chef mafieux parle: ''Qu'avez-vous fait pour nous ? Nous en avons tellement fait pour vous mais cela n'est pas très réciproque. J'ai un service à vous demander"», avait déclaré Adam Schiff devant le Congrès, estimant qu'il s'agissait de «l'essence» de ce que voulait dire le président américain, bien que ce dernier n'ait jamais employé de tels termes.
«Adam Schiff a inventé ce que j'ai dit. Il a pris des mots, et les a inventés. La raison en est que, quand il a vu mon appel avec le président de l'Ukraine, c'était tellement bien qu'il ne pouvait pas en citer un extrait. Parce qu'il n'y avait rien de mal. C'était parfait», a répliqué Donald Trump, se demandant par ailleurs sur Twitter s'il ne s'agissait pas d'un acte de trahison.
Rappelons par ailleurs que la procédure de destitution a été lancée avant même la publication de la retranscription de l'appel, sur la base du témoignage d'un «lanceur d'alerte» – un agent de la CIA selon le New York Times –, qui n'a pas été témoin direct de la conversation, et n'a obtenu des informations sur son contenu que par des tiers. Avant de déposer sa plainte, ce dernier s'est par ailleurs tourné vers Adam Schiff en sa qualité de président de la commission du renseignement afin d'obtenir des conseils. Si Adam Schiff assure qu'il s'agit d'une procédure standard, l'information a alimenté des accusations de tentative de «coup d'Etat» que n'hésite plus à brandir Donald Trump.
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déclaration du procureur ukrainien viré par Biden, Trump a-t-il eu raison ?
Par
LPV
10/4/2019
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[SCOOP] La déclaration choc du procureur ukrainien viré par Biden : Trump a-t-il eu raison ?
Le Bidengate et l’impeachment de Trump (voir ce billet) sont en train de prendre un tour inattendu (pour qui ne connait pas l’Ukraine), et se retourner contre les Démocrates.
Il est en effet apparu il y a 24 heures un élément assez gênant pour eux, que les médias couvrent peu.
Nous vous le présentons en français – mais attirons votre attention sur la grande prudence à avoir dans sa lecture – il est possible que le procurent ne dise pas la vérité.
Rappel : La déclaration de Biden de 2018, “Si le procureur n’est pas viré, vous n’aurez pas l’argentâ€
Rappelons de nouveau qu’il est utile de connaitre cette vidéo publiée l’année dernière sur Les-Crises (source, 28/01/2018), où Joe Biden avoue être fortement intervenu pour faire démettre le procureur général d’Ukraine en 2016 :
La déclaration du Procureur Viktor Shokin
Hier, le journaliste John Solomon (ancien journaliste d’Associated Press et du Washington Post) du journal américain The Hill, qui enquête depuis plusieurs mois, a publié un document émanant du fameux procureur viré, Viktor Shokin. C’est une déclaration devant notaire, datée du 4 septembre 2019, qu’il aurait réalisée dans le cadre du procès d’un oligarque (Dmytro Firtash) en Autriche.
Car il faut savoir que Shokin conteste son licenciement en justice, et qu’il semble que son cas va être examiné dans les prochains jours.
Voici le document, qui, pour le moment, n’a été évoqué au sein des grands médias que par le Kiev Post (principal journal ukrainien – “L’ex-Procureur Général Shokin défend l’oligarque Firtash†(sic.) alors que le coeur du document concerne surtout des violentes attaques contre Biden…) et Bloomberg (“L’Ukraine réserve d’autres surprises à Biden†(sic.) : lisez, ils n’en parlent qu’au milieu sans citer le coeur du document, et l’évacuent en une phrase…).
Shokin y accuse nommément Biden de l’avoir fait licencier, car il voulait enquêter sur Burisma, l’entreprise ukrainienne dont le fils de Biden était administrateur :
En voici la traduction :
Je soussigné, Viktor Shokin […] déclare ce qui suit :
1/ Je fais cette déclaration à la demande des avocats agissant pour le compte de Dmitry Firtash (“DFâ€), pour utilisation dans le cadre de procédures judiciaires en Autriche. Je le fais tout à fait volontairement et sans aucune menace ou incitation.
2/ Je suis un ancien procureur général de la République d’Ukraine. J’ai travaillé au parquet général d’Ukraine de mai 1980 au 3 avril 2016, à différentes périodes. J’ai été Procureur adjoint de l’Ukraine à trois reprises, de 2002 à 2003, de 2005 à 2007 et de 2014 à 2015. J’ai été Procureur général de l’Ukraine du 10 février 2015 au 3 avril 2016. J’ai été démis de mes fonctions de procureur général dans les circonstances que je vous exposerai ci-après. […]
5/ Le Procureur général de l’Ukraine est nommé par le Président de l’Ukraine avec l’accord de la Verkhovna Rada (†la Rada “, c’est-à -dire le Parlement). J’ai donc été nommé durant la présidence du Président Porochenko par 318 voix des membres du Parlement ukrainien, ce qui constituait une majorité constitutionnelle. Pendant que j’occupais ce poste, je suis fermement resté sans affiliation politique.
6/ Les circonstances de mon renvoi sont que j’ai remis ma démission à la Rada à la demande du président Poroshenko. Porochenko m’a demandé de démissionner sous la pression de l’administration présidentielle américaine, en particulier de Joe Biden, qui était le vice-président américain. Biden menaçait de retenir 1 milliard de dollars de subventions à l’Ukraine jusqu’à ce que je sois démis de mes fonctions. Après avoir cédé à la demande du Président et remis ma démission volontaire, Porochenko en a parlé dans les médias. Il a dit que j’avais accompli un travail colossal en tant que procureur général, ce qu’aucun de mes prédécesseurs n’avait été en mesure de faire, surtout en ce qui concerne mon travail sur la réforme des différents organes du bureau du procureur, sur la création du bureau spécialisé du procureur anticorruption, qui a permis au Bureau national anticorruption de l’Ukraine de mener un travail juridique, et sur la création de services autonomes de poursuites.
7/ La raison officielle invoquée pour mon renvoi était que je n’aurais pas réussi à obtenir la confiance du public. Porochenko et d’autres fonctionnaires de l’État, y compris des représentants de l’administration présidentielle américaine, n’avaient cependant jamais eu auparavant de plaintes au sujet de mon travail. Il n’y a eu aucun grief contre moi ni aucune allégation selon laquelle j’aurais commis des infractions criminelles liées à la corruption (ou, en fait, toute autre infraction criminelle). Biden n’a jamais rien dit de tel non plus. En outre, toutes les sanctions à l’encontre de M. Ianoukovitch et de ses partisans sont restées en vigueur et n’ont pas été levées pendant que j’occupais ce poste. De plus, ces sanctions ont été étendues.
8/ La vérité, c’est que j’ai été contraint de démissionner parce que je menais une vaste enquête sur la corruption dans Burisma Holdings (“Burismaâ€), une société de gaz naturel active en Ukraine. Le fils de Joe Biden, Hunter Biden, était membre du conseil d’administration. Je suppose que Burisma, qui était liée à l’extraction du gaz, avait le soutien du vice-président américain Joe Biden parce que son fils était membre du conseil d’administration.
9/ À plusieurs reprises, le président Poroshenko m’a demandé d’examiner l’affaire pénale contre Burisma et d’envisager la possibilité de mettre fin aux enquêtes concernant cette société, mais j’ai refusé de clore cette enquête. J’ai donc été contraint de quitter mes fonctions, sous la pression directe et intense de Joe Biden et de l’administration américaine. Dans mes conversations avec Porochenko à l’époque, il était catégorique sur le fait que je devais cesser mes enquêtes sur Burisma. Quand je ne l’ai pas fait, il a dit que les États-Unis (via Biden) refusaient de libérer le milliard de dollars promis à l’Ukraine. Il a dit qu’il n’avait donc pas d’autre choix que de me demander de démissionner.
10/ Quand Porochenko m’a demandé de démissionner, il m’a dit qu’il le faisait pour le bien de notre pays, et que je devrais être d’accord, également par patriotisme. J’ai accepté de donner ma démission sur cette base.
11/ Après mon renvoi, Joe Biden a fait une déclaration publique, disant – et même se vantant – qu’il m’avait fait virer. C’est alors qu’il est devenu évident que la véritable raison de mon congédiement était mes actions concernant Burisma et l’intérêt personnel de Biden dans cette société, ce qui a été démontré par ce qui suit :
c’était l’ordre et le souhait de Biden que je sois démis de mes fonctions, et non une décision de Porochenko ;
la raison en est que ce sont précisément les fonctionnaires de l’administration américaine du président Obama – et de Joe Biden en particulier – qui ont dit aux chefs du système d’application de la loi ukrainien comment enquêter et qui enquêter, notamment les membres de l’équipe du régime Ianoukovitch. Je ne respectais pas leur volonté (en ce qui concerne Zlochevsky, en particulier. qui était un ministre sous Ianoukovitch), j’ai donc dû être démis de mes fonctions ;
ce n’était pas Porochenko qui était patriotique, c’était Porochenko qui se soumettait aux exigences de l’administration américaine du président Obama pour des raisons d’économie politique et des intérêts personnels du vice-président américain Biden, entre autres.
12/ Lorsque j’ai appris le motif réel de mon renvoi de la déclaration de Biden, je me suis adressé aux tribunaux et j’ai demandé que l’on reconnaisse que j’avais été forcé de présenter ma démission “volontaire†(et donc que mon renvoi soit déclaré illégal). On m’a refusé l’examen de mon cas sur le fond parce que j’avais soi-disant dépassé les délais impartis pour présenter une demande aux tribunaux. Après avoir épuisé tous les recours internes, j’ai saisi la Cour européenne des droits de l’homme, au motif que mes droits fondamentaux avaient été violés et que mon licenciement était motivé par des raisons politiques et donc illégal. […]
38/ Les événements relatifs à DF et Biden en 2015 révèlent l’ampleur de l’ingérence de l’administration américaine dans les affaires intérieures ukrainiennes et la volonté d’exercer un contrôle dans le but de promouvoir les intérêts américains. Un exemple confirmant une telle ingérence est le fait que j’ai été contraint de démissionner de mon poste de procureur général sur la seule demande du vice-président américain Joe Biden parce que j’ai refusé de mettre fin à mon enquête sur Burisma (où Biden avait des intérêts importants) et que je n’aurais jamais accepté une poursuite pénale non fondée et à motivation politique.
39/ Je n’ai jamais rencontré DF en personne et mes intérêts n’ont jamais croisé les siens. Cependant, les mesures prises par l’administration présidentielle américaine sous la présidence d’Obama à notre égard démontrent des méthodes similaires d’isolement et de renvoi des personnes qui ne servent pas leurs intérêts. Cela pourrait être considéré comme une ligne d’action engagée par les autorités de l’État à l’égard des personnes qui avaient attiré leur attention.
Kiev, Ukraine le 4 septembre 2019
Je soussigné, Kh.V. Hornyak, notaire privé du district notarial de la ville de Kiev, certifie la signature authentique de Shokin Viktor Mykolayovych faite en ma présence. L’identité et la capacité juridique de Shokin Viktor Mykolayovych, qui a signé le document, ont été vérifiées.
Prudence, c’est l’Ukraine…
Alors bien sûr, cette déclaration venant d’un ancien responsable de la Justice en Ukraine, si elle se confirmait (il faut rester prudent et prendre ceci au conditionnel, Solomon est de plus en plus décrié comme tentant de monter des contre-feu pour Trump à partir de pas grand chose – le Washington Post le dénonçant avec véhémence ici, ici ou là ), pourrait laisser à penser à beaucoup d’Américains que Trump a bien eu raison de demander discrètement à son homologue ukrainien une enquête. Car comme nous l’indiquions “Trump a-t-il eu raison ?†va être au centre du débat de l’impeachment, et donc au centre des polémiques à venir.
Trump ne va pas se gêner pour créer un récit alternatif où il joue au chevalier blanc cherchant à protéger la Démocratie américaine d’un candidat potentiellement corrompu.
Et c’est exactement ce qu’il a fait :
I AM DRAINING THE SWAMP! = JE DRAINE LE MARAIS! c’est-à -dire JE NETTOIE LE BOURBIER! ou JE NETTOIE LES ÉCURIES D’AUGIAS! en français.
En réalité, comme c’est l’Ukraine, il est possible que le Procureur Shokin se venge du “Son of The Bitch†et mente dans sa déclaration.
Mais pour défendre ceci, il faut expliquer comment une telle personne aurait pu se retrouver Procureur général d’Ukraine, nommé par Porochenko, présenté comme le défenseur de l’intégrité.
Et c’est d’autant plus gênant que les médias ont déjà sorti la carte “théorie du complot†(source) :
Du coup, pour expliquer que cette théorie du complot Ukraine-Biden est fausse (c’est-à -dire pour défendre le fait que Trump mentirait), il va leur falloir démontrer que la théorie du complot contre Biden est vraie (donc démontrer que le Procureur d’Ukraine ment) – bon courage. C’est probablement pour ça que les médias en parlent peu, alors que l’accusation est stupéfiante.
Enfin, il ne faut surtout pas perdre de vue que le problème autour de l’impeachment de Trump n’est pas “Biden est-il coupable ?†mais “Biden a-t-il l’air suffisamment coupable pour que Trump intervienne discrètement auprès de son homologue ukrainien ?â€
En conclusion, cette histoire étant passionnante, mêlant la construction de réalités alternatives (entre, d’un côté, le fantasque Trump et, de l’autre, les corrompus ukrainiens, le concours de mensonges entre eux risque d’être de haut-vol), la corruption en Ukraine, mais aussi aux États-Unis, la qualité du travail des grands médias, etc., nous allons préparer ce week-end une synthèse détaillée pour mardi ou mercredi, afin que vous compreniez tout à cette incroyable affaire.
Et vous allez voir : ça va être énorme… ??
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L'Ukraine réexamine des affaires sur une société liée au fils de Joe Biden
Par
LPV
10/4/2019
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L'Ukraine réexamine des affaires sur une société liée au fils de Joe Biden
04/10/2019 à 15h13 Mis à jour le 04/10/2019 à 15h25
Une annonce qui n'a aucun rapport avec l'appel téléphonique entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky en juillet, selon le procureur général ukrainien.
Le parquet ukrainien a annoncé vendredi réexaminer des dossiers impliquant le groupe gazier Burisma, un temps lié au fils de Joe Biden, au moment où Donald Trump est soupçonné de pressions sur Kiev pour éliminer son rival démocrate.
"Nous faisons un audit des affaires (...) dans lesquelles peuvent être impliqués Mykola Zlochevsky (ex-dirigeant de Burisma), Serguiï Kourtchenko (homme d'affaires ukrainien) et d'autres", a indiqué aux journalistes le procureur Rouslan Riabochapka.
Selon lui, ces affaires autrefois examinées par la justice mais classées à l'époque sont au nombre d'"environ 15" mais ne semblent pas concerner le fils de Joe Biden, Hunter, qui était entré en 2014 au conseil d'administration de Burisma.
"D'après ce que nous voyons, il s'agirait davantage de Zlochevsky et Kourtchenko que de Burisma et Biden", a-t-il précisé. "Je ne peux pas dire que nous voyons ou comprenons toutes les affaires. Le travail se poursuit et nous présenterons les résultats plus tard."
Vérifier la légalité du classement des dossiers
Le but du réexamen est de déterminer si ces dossiers avaient été classés légalement, a-t-il affirmé assurant que cette décision n'avait pas été prise sous pression politique.
"Aucun politique étranger ou ukrainien ne m'a téléphoné ou tenté d'influencer mes décisions", a insisté Rouslan Riabochapka.
Trump visé par une enquête en vue d'une destitution
Le président américain est accusé d'avoir fait pression, lors d'un appel téléphonique, sur son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky pour qu'il lance une enquête visant le fils de son potentiel adversaire démocrate dans la présidentielle de 2020, Joe Biden, ancien vice-président de Barack Obama.
Les démocrates américains ont déclenché suite à ces accusations une enquête contre le milliardaire républicain en vue d'une destitution.
Avocat et investisseur, Hunter Biden a siégé de 2014 à 2019 au conseil de surveillance du producteur de gaz ukrainien Burisma, cofondé par l'oligarque prorusse, Mykola Zlochevsky.
Des SMS pointent une demande américaine à l'Ukraine
Selon des SMS rendus publics jeudi soir, la diplomatie américaine a demandé au président ukrainien d'enquêter sur Joe Biden et son fils en échange d'une rencontre ensuite avec Donald Trump à la Maison Blanche.
Dans le cadre de leur enquête visant à destituer le président américain, qu'ils accusent d'avoir abusé de son pouvoir à des fins électorales personnelles, les députés aiguillés par les démocrates ont entendu pendant plus de huit heures à huis clos Kurt Volker, l'envoyé spécial des États-Unis pour l'Ukraine jusqu'à sa démission la semaine dernière.
Ils ont ensuite rendu public un SMS écrit par Kurt Volker à un conseiller du président ukrainien en juillet, juste avant le coup de téléphone controversé de Donald Trump au président Volodomyr Zelensky, appel dont le signalement par un mystérieux lanceur d'alerte a provoqué une tempête politique à Washington.
"Entendu de la Maison Blanche. Si président Z convainc Trump qu'il va enquêter, découvrir ce qui s'est passé en 2016, nous trouverons une date pour une visite à Washington. Bonne chance!".
Deux jours avant l'échange téléphonique entre les deux dirigeants, Kurt Volker a également envoyé un message à Gordon Sondland, ambassadeur des États-Unis auprès de l'Union européenne, laissant entendre qu'il était important pour "Zelensky de dire qu'il aidera l'enquête".
C.M. avec AFP
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Sarkozy sera jugé pour financement illégal de campagne
Par
LPV
10/1/2019
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Affaire Bygmalion : la Cour de cassation confirme le renvoi de Nicolas Sarkozy devant le tribunal
L’ancien président de la République comparaîtra devant le tribunal correctionnel pour les dépenses excessives de sa campagne présidentielle de 2012.
Par Simon Piel Publié aujourd’hui à 14h10, mis à jour à 15h00
Temps deLecture 2 min.
Ses avocats auront tout tenté. En vain. Nicolas Sarkozy devra bien répondre de son rôle dans l’affaire Bygmalion devant un tribunal correctionnel. La Cour de cassation a confirmé définitivement mardi 1er octobre le renvoi en procès de l’ancien président de la République pour les dépenses excessives de sa campagne présidentielle malheureuse de 2012. Un procès était suspendu depuis deux ans et demi à de nombreux recours.
Le Conseil constitutionnel avait déjà rejeté la question prioritaire de constitutionnalité soulevée par Nicolas Sarkozy, qui arguait de la règle du non bis in idem qui veut que l’on ne peut être condamné deux fois pour les mêmes faits. Il estimait l’avoir déjà été définitivement par le Conseil constitutionnel en 2013. Les « sages » avaient alors confirmé le rejet de ses comptes à cause d’un dépassement de 363 615 euros qu’il avait dû rembourser. Mais cette sanction avait été prononcée avant la révélation au printemps 2014 d’un système de fausses factures visant à dissimuler l’explosion du plafond de dépenses de ses meetings – près de 20 millions d’euros de dépassement –, organisés par l’agence Bygmalion.
De son côté, la Cour de cassation avait notamment à se prononcer, mardi 1er octobre, sur la validité de l’ordonnance de renvoi. Les conseils de Nicolas Sarkozy avaient souligné que l’un des juges d’instruction saisi – le magistrat aujourd’hui à la retraite Renaud Van Ruymbeke – avait refusé de signer l’ordonnance de renvoi marquant ainsi son désaccord avec son collègue Serge Tournaire, premier juge saisi. La Cour suprême de l’ordre judiciaire a définitivement validé l’ordonnance de renvoi. Elle devait aussi trancher sur une série d’irrégularités soulevées par sept des prévenus dans l’arrêt de la chambre de l’instruction du 25 octobre 2018 qui avait confirmé leur renvoi en correctionnelle.
Candidat déconnecté de sa campagne « peu crédible »
Dans l’ordonnance de renvoi, désormais validée de façon définitive, le magistrat Serge Tournaire distinguait plusieurs niveaux de responsabilité. Celles des dirigeants de Bygmalion, des cadres de l’UMP, du directeur de la campagne de Nicolas Sarkozy et, enfin, celle du candidat. A son propos, le juge d’instruction écrit que « plus que quiconque, il était supposé connaître, respecter et faire appliquer par ses équipes les dispositions légales » en matière de financement de campagne.
« L’autorité de Nicolas Sarkozy, son expérience politique et l’enjeu que représentait pour lui sa nouvelle candidature à la magistrature suprême rendent peu crédible l’hypothèse d’un candidat déconnecté de sa campagne laissant ses équipes ou son parti et ses dirigeants agir en dehors de lui et décider de tout à sa place », ajoute-t-il.
A l’issue de son instruction, le juge a considéré que « Nicolas Sarkozy a incontestablement bénéficié des fraudes révélées par l’enquête qui lui ont permis de disposer, lors de sa campagne de 2012, de moyens bien supérieurs à ce que la loi autorisait (…). Toutefois, l’enquête n’a pas établi qu’il les avait ordonnées, ni qu’il y avait participé, ni même qu’il en avait été informé ». C’est pour ces raisons que Nicolas Sarkozy n’est pas poursuivi pour les infractions de « faux », « d’escroquerie » ou de « recel d’abus de confiance », comme les autres mis en examen.
Nicolas Sarkozy doit par ailleurs être jugé prochainement dans le cadre de l’affaire dite « Bismuth » – du nom choisi par l’ancien président pour utiliser un téléphone occulte – pour « trafic d’influence » et « corruption » d’un haut magistrat de la Cour de cassation. Il est, en outre, mis en examen depuis mars 2018 dans l’enquête sur le financement libyen présumé de sa campagne de 2007, pour « corruption passive », « recel de détournements de fonds publics libyens » et « financement illégal de campagne électorale ». La cour d’appel de Paris doit examiner, le 17 octobre, sa requête pour demander l’annulation de ces poursuites.
Lire aussi Sarkozy, la Libye et le financement de la campagne présidentielle 2007 : tout comprendre à l’affaire
Audio: https://youtu.be/tiv9ZFUrFj4
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Edit tôt : la mort de Patrice Talon ou un aveu d’impuissance !
Par
LPV
9/30/2019
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POLITIQUE 3 Commentaires
Edit tôt : la mort de Patrice Talon ou un aveu d’impuissance !
Olivier Ribouis
publié le 30 septembre 2019
Introduire le mysticisme en politique au point de créer la psychose, c’est là , la preuve d’un aveu d’impuissance face à un adversaire politique dont on estime que la mort, même spirituelle, sera le moment de se saisir du pouvoir qu’il aura été contraint de lâcher.
Que se passe-t-il au 229 ? Il y a de la puanteur dans le charivari politique sur la place publique. Médiocres par leur incapacité à poser des débats sur des enjeux de développement, toujours accrochés à des faux-fuyants pour créer le buzz et être au-devant de l’actualité, les politicards béninois ont l’art de glisser sur la place publique des sujets sans intérêts qui occupent les populations aussi à la recherche de quoi papoter.
La nouveauté, c’est la mort. De qui ? de Patrice Talon, le Chef de l’Etat béninois. Partie comme une une mauvaise blague, la rumeur de la fausse mort du Président s’impose au menu des discussions dans les fora sur les réseaux sociaux mais aussi dans les discussions sous l’arbre à palabre, dans les coins de rues. Charrié par les ruissellements dans les canaux sans frontières des réseaux sociaux, ce qui se dit à Cotonou est déjà dans les villages de l’intérieur du pays. Pour ceux d’entre les citoyens des contrées lointaines qui ont des contacts de journalistes, ils appellent pour en avoir le cœur net. C’est dire à quel point on joue dans ce pays où tout est à reconstruire pour ne pas dire à construire.
L’auteur de cette rumeur qui fait des vagues est un politicien qui s’est attribué des pouvoirs d’oracle, prédisant la fin de celui dont il désapprouve la gouvernance. Docteur en science de la communication et docteur en Economie comme il se plait à rabâcher, Bertin Koovi, le taulard de Malabo, reconnaît être l’homme par qui la fausse mort de Talon est entrée dans la liste des commérages politiques au Bénin. Il sait visiblement surfer sur la conscience populaire des Béninois superstitieux de coutume. En habile agitateur, il est revenu sur la prédiction de mort ce dimanche 29 septembre 2019 à un moment où la psychose monte en puissance. L’apocalypse de la rupture qu’il a prédit pour le 06 octobre prochain, rectifie Bertin Koovi, « ne veut pas dire que le sol va s’ouvrir sous le pied de Patrice Talon et qu’il va disparaître comme la neige sous le soleil ». Il affirme que la disparition annoncée de Patrice Talon se réalisera sur le plan spirituel avec la perte de toutes les énergies cosmiques qui font de lui un dirigeant. Le mystérieux homme politique fait à ce sujet une démarcation sémantique sur la notion de la mort. « La mort n’est pas que physique », soutient-il, sûr de ses affirmations, lui qui se revendique iroko, du nom de cet arbre légendaire dans les traditions vodouns.
Qu’à cela ne tienne, pour qui se clame opposant et même prédestiné par des cauris à être dirigeant, agiter l’opinion avec l’idée d’une éventuelle mort de son adversaire politique répond à quelle théorie ? Bertin Koovi se targue d’être celui qui réveille le peuple "dormant" du Bénin avec ses audios polémistes distillés sur la place publique à travers les réseaux sociaux depuis la Guinée-Equatoriale. C’est abscons ! Introduire le mysticisme en politique au point de créer la psychose, c’est là , la preuve d’un aveu d’impuissance face à un adversaire politique dont on estime que la mort, même spirituelle, sera le moment de se saisir du pouvoir qu’il aura été contraint de lâcher. Cette alchimie de vautours est la somme d’impuissance à trouver des arguments politiques, d’impuissance à proposer une alternative convaincante, d’impuissance à fédérer des forces d’une opposition qui se déchiquète, d’impuissance à conquérir un peuple désabusé qui ne réclame que paix et développement.
La politique, on le sait, sous les tropiques, est le domaine par excellence où tous les coups sont permis. C’est, nous a-t-on habitué, un désert de vertus. Mais, à trop pousser loin le bouchon du vice, on tombe dans la gadoue. Le Bénin n’a pas besoin de ça.
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Jacques Chirac est décédé
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LPV
9/26/2019
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Jacques Chirac est décédé
Jeudi, 26 Septembre, 2019
L’ancien président de la République Jacques Chirac est décédé ce jeudi matin, à l’âge de 86 ans, a-t-on appris auprès de son gendre, l’ancien secrétaire général de l’L’Elysée Frédéric Salat-Baroux. Homme de parti, homme d’État, il a durablement laissé son empreinte sur la vie politique française. Malgré quelques coups d’éclat républicains, il reste celui qui a modelé la droite gaulliste pour la mettre à son service.
Le « bulldozer », comme l’appelait Georges Pompidou, a calé. « Homme simple et politique tordu », selon l’historien Michel Winock (1), Jacques Chirac s’est éteint « au milieu des siens », à Paris, à l’âge de 86 ans, a-t-on appris par son gendre, l’ancien secrétaire général de l’Elysée Frédéric Salat-Baroux.
Fils d’un banquier, Jacques Chirac naît le 29 novembre 1932, dans le 5e arrondissement de Paris auquel il est tellement attaché qu’il en confiera la «?gestion?» aux époux Tibéri, malgré les affaires – ou à cause leurs destins liés par elles… Un pragmatique en politique qui savait aussi cultiver son jardin secret. Lecteur de René Char et Saint-John Perse, il aimait à se faire passer pour un inculte, avouant uniquement son amour pour la tête de veau et la bière… Mais «?cet homme-là est du genre à lire de la poésie en se camouflant derrière un play-boy?», disait de lui sa ministre Françoise Giroud. En politique pourtant, la poésie ne s’est jamais imposée. Là , le surnom prophétique de «?Bison égocentrique?», choisi chez les scouts dans les années 40, raconte-t-il dans «?Chaque pas doit être un but?», lui allait aussi bien que celui de «?Bulldozer?», attribué par Georges Pompidou.
Sa vie politique mouvementée commence en 1951, sur les bancs de l’Institut d’études politiques, où il rencontre Michel Rocard et Robert Pandraud. Il déçoit le premier, ne voulant pas rejoindre la SFIO malgré son insistance, et irrite le second?: signataire de l’appel de Stockholm contre la prolifération des armes nucléaires, il vend L’Humanité-Dimanche «?devant l’église Saint-Sulpice, durant quelques semaines?», explique-t-il dans «?Chaque pas…?», et participe à «?au moins une réunion de cellule?» du PCF, racontera-t-il à France 3 en novembre 1993.
Après l’IEP – dont il sortira troisième sur 139 -, en 1954, il entre à l’École nationale d’administration (ENA). Se fiance, puis se marie en 1956 avec Bernadette Chodron de Courcel, issue d’une vieille famille – noblesse d’empire – où se côtoient banquiers, prêtres et industriels. Bernadette et Jacques se soutiendront et se suivront, de la Corrèze (où elle a été conseillère générale sans discontinuer de 1979 à 2015) à Paris, de la mairie à l’Élysée.
Jacques Chirac expliquera n’être devenu gaulliste qu’en 1958, de retour à l’ENA après le service militaire, convaincu que le général saurait «?garder l’Algérie?». Jeune élu de Corrèze, à partir de 1967, il fera «?porter des colis à Challe, Salan, Jouhaud et Zeller, les quatre généraux putchistes enfermés à la prison de Tulle?» (2). Le paradoxe Chirac dans toute sa splendeur.
En parallèle d’une vie d’élu, Jacques Chirac entame une longue carrière ministérielle. Entré en 1962 au secrétariat général du gouvernement, puis au cabinet du premier ministre, il est appelé au gouvernement par Georges Pompidou en mai 1967, comme secrétaire d’État à l’Emploi auprès du ministre des Affaires sociales Jean-Marcel Jeanneney. Il y crée l’Agence nationale pour l’Emploi, censée reclasser les 430?000 chômeurs que comptait alors le pays. On connaît la suite… En mai 68, il négocie avec Pompidou les accords de Grenelle, signés avec le secrétaire général de la CGT Georges Séguy, après dit-on de multiples rencontres secrètes avec Henri Krasucki. Secrétaire d’État à l’Économie, sous l’autorité du ministre des Finances Valéry Giscard d’Estaing (VGE) - de cette période naîtra l’inimitié entre les deux hommes -, il ne tarde pas à être pris en main par le duo de conseillers élyséens Marie-France Garaud-Pierre Juillet, dès 1970. Il connaît ensuite une ascension fulgurante?: ministre délégué aux Relations avec le Parlement en 1971, ministre de l’Agriculture en 1972, poste qui lui vaudra, grâce à ses racines corréziennes, le soutien durable des agriculteurs français. Il lui en faudra, car la révélation du financement des travaux de son château de Bity, en Corrèze, acheté pour une bouchée de pain et rénové grâce aux subsides de l’État (il l’avait fait classer par un arrêté, en avril 1969, un mois après l’avoir acheté), le déstabilise. Dans l’Humanité, André Wurmser écrit que «?M. Chirac n’est pas coupable juridiquement (…) Moralement, il n’est pas défendable.?»
A 41 ans, il est nommé premier ministre de VGE, élu président, et dans la foulée prend la tête de l’Union pour la défense de la République (UDR), le grand parti gaulliste, malgré la réticence de quelques grands barons, dont Chaban-Delmas, qui dira que «?Jacques Chirac a découvert le gaullisme en comptant les bancs de l’Assemblée nationale?». Il comprend vite qu’il ne pourra pas gouverner avec Giscard, qui lui impose son entourage pour mieux le circonscrire. C’est donc au parti qu’il se réalisera, après deux années de désaccords entre «?deux sensibilités politiques, note Michel Winock?: celle la droite libérale (de Giscard) et celle du républicanisme autoritaire (de Chirac)?». Il quitte Matignon avec fracas, estimant qu’il «?ne dispose pas des moyens (…) aujourd’hui nécessaires pour assurer efficacement (ses) fonctions de premier ministre?».
Récupérant son siège de député, il investit le parti. L’UDR deviendra le «?Rassemblement pour la République?» (RPR), une machine électorale dont le premier objectif sera les élections municipales de 1977. Certes, la gauche, notamment le PCF, en sera largement gagnante, mais ce qui importe à Jacques Chirac c’est son propre succès à Paris, dont le maire était élu pour la première fois.
Son principal adversaire, depuis l’Élysée, lui oppose dès janvier 1978 l’Union pour la démocratie française (UDF). La querelle se porte alors sur l’Europe, et les premières élections européennes prévues en 1979?: les démocrates chrétiens de l’UDF rêvent de fédéralisme, les gaullistes chiraquiens de souveraineté nationale. Le patron du RPR, aiguillonné par Garaud et Juillet, lance le 6 décembre 1978, depuis l’hôpital Cochin, où il récupère d’un grave accident de voiture, son «?Appel de Cochin?»?: «?Quand il s’agit de l’abaissement de la France, le parti de l’étranger est à l’œuvre, avec sa voix paisible et rassurante. Français, ne l’écoutez pas.?» Peine perdue, l’UDF et sa tête de liste Simone Veil devanceront largement (27,6 % contre 16,2 % des suffrages) le RPR.
Désavoué par son parti, convaincu que la stratégie imposée par ses conseillers est mauvaise, Jacques Chirac s’en débarrasse, sur l’insistance de Bernadette?: «?Je pensais que Jacques Chirac était du marbre dont on fait les statues, il est en fait de la faïence dont on fait les bidets?», lâchera alors Marie-France Garaud, amère. Chirac oriente alors ses efforts sur la présidentielle de 1981. Las?! Il termine troisième, à peine devant le PCF mais largement derrière Giscard et Mitterrand, qui sera élu. Depuis la mairie de Paris, Chirac dirige le RPR comme un rempart au «?socialo-communisme?» du gouvernement Mauroy. Il affirme son emprise sur le RPR, plaçant de nouveaux noms aux postes clés?: Jacques Toubon, Philippe Séguin, Michel Noir ou Nicolas Sarkozy, le protégé de Charles Pasqua… Changement de ton, sinon avec Giscard, du moins avec l’UDF. Certes, Chirac considère que la libéralisation des mœurs prônée par l’UDF est un «?socialisme rampant?», mais depuis l’Appel de Cochin, le discours s’est adouci. Et aux élections européennes de 1984, une liste RPR-UDF menée par Simone Veil et Bernard Pons obtient la majorité des sièges français à Strasbourg.
Deux ans plus tard s’ouvre un exercice inédit dans l’histoire de la Ve République, la cohabitation. Sans quitter son poste de maire de Paris, Jacques Chirac redevient premier ministre. Contre le président de gauche, son gouvernement veut «?libérer l’économie?» en favorisant le patronat?: privatisations en chaîne organisées par Édouard Balladur (TF1, Saint-Gobain, Paribas, Société générale, Havas, Suez, Matra…), suppression de l’autorisation administrative de licenciement… «?Avant la fin de l’année, la France aura un autre système de valeurs que celui sur lequel elle vivait précédemment?», fanfaronne le premier ministre. Sous la houlette de Charles Pasqua, les lois concernant la criminalité, la délinquance, le terrorisme sont durcies après qu’une vague d’attentats a touché Paris à l’été 1986. De même les conditions d’entrée sur le territoire, d’obtention des cartes de séjour, d’accès à la nationalité française sont compliquées. Le bulldozer veut aller vite, mais sera stoppé en novembre sur sa réforme des universités?: le projet Devaquet pour l’autonomie des universités (finalement abouti sous Sarkozy) générera un mouvement étudiant d’ampleur. Surtout, le 5 décembre, la mort de Malik Oussekine, frappé par les «?voltigeurs?», brigades motocyclistes armées de longues matraques, provoquera la crainte durable qu’un mouvement de jeunesse s’envenime, souvenir qui suivra Jacques Chirac jusqu’au CPE, en 2006. Le premier ministre «?le plus antisocial?» qu’il ait vu, dixit Georges Marchais, a raté son pari?: deux ans de libéralisation de l’économie à outrance n’ont pas inversé la tendance du chômage, sa «?priorité absolue?», qui affiche 200?000 demandeurs d’emploi de plus au printemps 1988.
Le leader de la droite en est pourtant persuadé?: malgré les douloureux souvenirs, comme le massacre de la grotte d’Ouvéa, 1988 est son année. Il part en campagne contre Mitterrand mais aussi contre Raymond Barre, qu’il devance au premier tour. Mais sa confrontation avec le président sortant se termine sur un échec. Mitterrand réélu, Jacques Chirac va devoir à nouveau faire face à ses détracteurs au sein du RPR?: les «?rénovateurs?» partisans d’un gaullisme «?social?» (Philippe Séguin, François Fillon, pour le RPR, Philippe de Villiers, François Bayrou pour l’UDF) et surtout Édouard Balladur, qui manifeste déjà son indépendance, et Charles Pasqua, qui veut tirer le parti plus à droite.
Il avait commencé à amender sa vision européenne, mais à l’occasion de la campagne sur le traité de Maastricht, entre 1991 et 1992, le chef de l’opposition change de pied. Certes, il se déclare «?hostile au plan Delors (pour) l’instauration d’une monnaie unique?», mais comme le PS soutient le «?oui?», aux côtés de Juppé, Balladur et Toubon, contre Pasqua et Séguin, restés fidèles à l’appel de Cochin. Le «?oui?» l’emportera, suivi d’une série de succès pour la droite?: élections régionales (20 régions sur 22), cantonales (76 départements sur 99) et bientôt législatives, avec 485 sièges sur 577 (et 242 pour le seul RPR). 1993?: le pays va vivre une deuxième cohabitation. Mais cette fois, Chirac envoie son éminence grise à Matignon. Édouard Balladur est censé préparer l’accession de Chirac à l’Élysée en 1995, mais rompra le pacte, annonçant sa propre candidature le 8 janvier, aiguillonné par son ministre du Budget et directeur de campagne, Nicolas Sarkozy, et le ministre de l’Intérieur Charles Pasqua. Jacques Chirac, lancé depuis novembre 1994, compte sur le dernier carré de ses fidèles, Alain Juppé et Alain Madelin, rejoints par l’hésitant Philippe Séguin. L’attitude guindée de son rival à droite, lui donne une image populaire d’anti-héros sympathique, travaillée par les Guignols de Canal plus. La voie vers l’Élysée est ouverte.
La présidentielle de 1995 et le malentendu qui lui a valu la victoire est l’occasion d’une autre transformation. Débarrassé de Balladur à la suite d’une de ces campagnes fratricides où il n’est jamais aussi bon, conseillé depuis 1993 par Jacques Pilhan, le communicant des années Mitterrand, Chirac est élu en récupérant à son compte la «?fracture sociale?». Un vrai constat effectué par Emmanuel Todd, et utilisé à son corps défendant. Chirac, comme toujours, revient vite sur ses promesses. Avant même l’évacuation musclée de l’Église Saint-Bernard où se sont réfugiés 200 sans-papiers, en 1996, l’une de ses premières décisions fut de rompre, le 13 juin 1995, le moratoire sur les essais nucléaires dans le Pacifique. Le 15 novembre, son premier ministre Alain Juppé présente son plan pour la Sécu et les régimes de retraites, prenant le contre-pied de toute réduction de la fracture sociale, en rognant les retraites et revenus des modestes. S’ensuit le plus vaste mouvement social en France depuis mai 68. Au printemps 2006, le contrat première embauche jettera cette fois une génération dans la rue. Quatorze semaines durant, organisations syndicales, étudiantes et lycéennes, main dans la main, tiennent bon jusqu’à obtenir le retrait d’un contrat qui faisait des jeunes de moins de 25 ans une main-d’œuvre licenciable sans motif. Le 31 mars, Jacques Chirac mange son chapeau et doit demander aux entreprises de ne pas se servir d’une loi, pourtant tout juste promulguée. Dix jours plus tard, le CPE sera légalement passé à la trappe.
La fin du chiraquisme aurait dû dater du 21 avril 2002, date du premier tour de l’élection présidentielle. La dissolution décrétée en 1997, coup de poker pour s’octroyer une majorité confortable à l’heure de mener la politique induite par les critères de Maastricht, se solde par un échec cuisant. Le 2 juin, il s’installe dans une cohabitation avec Lionel Jospin, réplique inversée de celles connues avec Mitterrand. Le bilan de la gauche plurielle, à l’aube des élections présidentielles de 2002, lui laisse pourtant une ouverture. Réélu à la suite de ce séisme qui n’en finit pas de connaître des répliques, Jacques Chirac se sent pourtant aussitôt délié des conditions de son bail renouvelé à l’Élysée.
Considérant avoir les coudées franches, il engage alors une baisse substantielle de l’impôt sur le revenu, signant l’appauvrissement durable des ressources de l’État, comme une manière de tuer le gaullisme aussi. La réforme Fillon des retraites en 2003, avec l’allongement de la durée de cotisation, trace un chemin que la droite suivra ensuite comme un sillon. À Matignon précédemment, de 1995 à 1997, Alain Juppé mènera sous ses ordres une politique de rigueur pour respecter les critères de l’euro au 1er janvier 2002.
Pourtant, début 2007, au moment de ses vœux, il laisse encore planer le doute, esquisse un sourire quand on lui demande s’il se représentera pour un troisième mandat. Personne n’est vraiment dupe, tant un héritier aux mêmes méthodes de voyou politique, lui mord les mollets. Officiellement candidat, son ministre de l’Intérieur, Nicolas Sarkozy, mélange déjà les genres, profitant d’un déplacement au mont Saint-Michel pour faire campagne, sans encore démissionner de sa fonction. Il est loin le temps où Chirac pouvait dire de son ministre, comme en 2004, «?je décide, il exécute?».
Incapable de résorber un chômage aux niveaux comparables à la période de crise 2009-2010, c’est sur le plan sociétal que se rabat Chirac, en lançant en 2002 trois «?grands chantiers?». La sécurité routière, consacrant la prééminence en la matière d’une association de victimes, la Ligue contre la violence routière. Il lance aussi un plan cancer ainsi qu’un plan handicap, avec la création d’une prestation de compensation. Pour le reste, le divorce d’avec les Français est consommé.
Le référendum de 2005 et le «?non?» large au Traité constitutionnel européen, avec 54,9 % des voix, est un échec politique majeur, bien que Chirac se soit souvenu d’avoir été gaulliste, en proposant sa ratification via référendum. Au-delà de la question posée, les Français sanctionnent le 29 mai 2005 la politique menée. Selon un sondage IPSOS, le vote «?non?» est plutôt l’apanage des classes moyennes et populaires.
Sarkozy, élu en 2007, ménagera toujours publiquement Chirac. L’inverse n’est pas vrai, et bien que diminué, l’ancien député de Corrèze suggére sa préférence en 2012 pour Hollande. Tandis que Bernadette Chirac manifeste en 2014 son allégeance à Sarkozy, Jacques, lui, déclare au Figaro sa fidélité à Alain Juppé, qui avait endossé la responsabilité, jusqu’à la prison avec sursis et l’inéligibilité, des affaires judiciaires de la mairie de Paris?: «?J’ai toujours su (qu’il) serait au rendez-vous de son destin et de celui de la France?», déclare-t-il. Jusqu’au bout, le bulldozer a gardé sa lame aiguisée.
(1) Dans le magazine Histoire d’octobre 2006.
(2) «Chirac d’Arabie?», d’Eric Aeschimann et Christophe Boltanski.
Grégory Marin et Lionel Venturini
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Hussein Obama : « Le coup de pied de l’âne » foireux du mauvais perdant
Par
LPV
9/26/2019
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9/26/2019 2:04:00 AM
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Hussein Obama : « Le coup de pied de l’âne » foireux du mauvais perdant
Publié le 27 décembre 2016 - par Thierry Michaud-Nérard - 8 commentaires - 1 355 vues
« Le vieux Lion, terreur déclinante des forêts, Chargé d’ans, et pleurant son antique prouesse » veut faire croire au camp démocrate qu’il n’a pas été battu, ni désavoué par la victoire éclatante de Donald Trump.
Pourtant, malgré les coups foireux des activistes gauchistes, les séides du spéculateur Soros, il « Fut enfin attaqué par ses propres sujets, Devenus forts par sa faiblesse… Le malheureux Lion, languissant, triste, et morne, Peut à peine rugir, par l’âge estropié. » Le mauvais perdant Hussein Obama conteste son destin si funeste et répète ses plaintes minables contre la victoire incontestable de Donald Trump.
« Quand, voyant l’Âne même à son antre accourir : Ah ! c’est trop, lui dit-il, je voulais bien mourir, Mais c’est mourir deux fois que souffrir tes atteintes« . Pas content de la médiocre Clinton, voilà pourquoi le mauvais perdant Hussein Obama réserve à son tour « le coup de pied de l’âne » foireux de la gauche anti-démocratique à Donald Trump, à Vladimir Poutine et à Benyamin Nétanyahou. L’âne bâté, mauvais perdant et revanchard, Hussein Obama, est considéré comme « la honte de l’Amérique » quand il se permet de nier le vote sans appel du peuple américain. Le mauvais perdant Hussein Obama se comporte comme le vieux lion affaibli de la fable devenu politiquement désavoué et disgracié, ce qui justifie, pour le perdant, de devoir « mourir politiquement ».
Le mauvais perdant Hussein Obama devenu vieux veut faire croire qu’il aurait battu Donald Trump !
Le Monde.fr de gauche continue sa « propagande gauchiste anti-Trump » contre le vote sans appel du peuple américain : Hussein « Obama pense qu‘il aurait battu Trump, si un troisième mandat était possible« . Le sortant Obama a jugé « qu‘il aurait pu mobiliser les démocrates mieux qu‘Hillary Clinton » (la corrompue).
Hussein Obama veut faire croire au camp démocrate qu’il n’a pas été battu ni désavoué par la victoire de Donald Trump. « Certain de sa force de persuasion » le mauvais perdant Hussein Obama imagine « qu‘il aurait pu remporter le soutien d’une majorité d‘Américains face à Donald Trump« . Ben voyons ! Takaycroire !
Le mauvais perdant Hussein Obama « a jugé qu‘Hillary Clinton » (la milliardaire corrompue) avait mené une (mauvaise) campagne formidable, en dépit de circonstances très difficiles. Elle s‘est concentrée sur les failles de Trump et aurait (dû) davantage mettre en valeur l‘engagement démocrate en faveur des personnes qui travaillent… Je suis certain que si je m‘étais présenté et l‘avais expliqué, j‘aurais pu mobiliser une majorité du peuple américain et les rallier derrière [ce projet]… » Le président élu Donald Trump lui a répondu : « Pas moyen ! » en lui reprochant ses échecs en matière de délocalisations d’entreprises américaines, de lutte contre les djihadistes de l’EI et au sujet de la Sécurité sociale payée par les cotisations très coûteuses de ceux qui travaillent pour l’assistance médicale gratuite de ceux qui ne travaillent pas et qui ne cotisent pas.
« Le coup de pied de l’âne » foireux contre Israël du mauvais perdant Hussein Obama a mis Benyamin « Nétanyahou (très en colère et résolument) en campagne anti-Obama« . Benyamin Nétanyahou reste plus que jamais « sur le pied de guerre face à (Hussein) Obama« . Le Premier ministre israélien accuse désormais le président américain « sortant » de préparer en coulisse un « mauvais coup » diplomatique supplémentaire, « avec la complicité de la France » (de Hollande l’audacieux), avant son départ de la Maison-Blanche, le 20 janvier.
« Le coup de pied de l’âne« , c’est le « complot » ourdi par le Conseil de sécurité de l’ONU condamnant la colonisation israélienne dans les territoires occupés palestiniens, en Cisjordanie et à Jérusalem-Est. Ce texte de basse politique politicienne, qui ne sera pas appliqué, aucune sanction n’étant prévue, est « le coup de pied de l’âne » foireux contre Israël du mauvais perdant Hussein Obama. Voilà pourquoi le Premier ministre israélien craint que le perdant Obama ne prépare un « mauvais coup de pied de l’âne » diplomatique contre Israël. « Depuis, Benyamin Nétanyahou ne décolère pas« . (Marc Henry, le Figaro)
Le perdant Obama prépare encore un « mauvais coup de pied de l’âne » diplomatique contre Poutine.
Communiqué du Ministère russe des Affaires étrangères : « Pour la deuxième fois en trois jours, les États-Unis ont renforcé leurs sanctions antirusses dans un contexte où les attentats meurtriers commis à Ankara et à Berlin devraient au contraire réunir les esprits raisonnables dans la lutte contre la menace terroriste. Cette décision témoigne d’une perte totale du sens des réalités à Washington« .
« Au lieu de rappeler à l’ordre ses clients de Kiev qui torpillent le règlement pacifique du conflit dans le Donbass, Washington lance de nouvelles accusations infondées contre Moscou. Nous rappelons que « c’est le coup d’État en Ukraine soutenu par les Américains (la CIA) qui a conduit au référendum en Crimée et à Sébastopol« . Cette décision est irréversible malgré toutes les tentatives de se persuader du contraire. Nous constatons une volonté de « punir » la Russie pour son soutien au gouvernement de la Syrie dans la lutte contre le terrorisme, qui menace non seulement ce pays du Moyen-Orient, mais également le monde entier.
« On a remarqué depuis longtemps que l’administration Obama était prête à « aider n’importe quelles forces destructrices pour tenter d’assurer un changement de régime en Syrie« . Elle protège notamment le « groupe terroriste Front al-Nosra, branche d’Al-Qaïda« qui avait commis les attentats les plus terrible de l’histoire américaine. La Maison-Blanche a oublié que le soutien aux terroristes était « un crime pénal grave selon la loi américaine« . La Russie ne cédera pas aux sanctions » (du mauvais perdant Hussein Obama).
Juliette Mickiewicz et al. (le Figaro) : (le perdant Obama) « a accusé le Kremlin d’essayer d’interférer dans le processus électoral américain en orchestrant des piratages de comptes d’emails de personnalités et d’institutions américaines. La Russie est accusée (par le mauvais perdant Hussein Obama) « d’avoir tenté » d’aider Donald Trump à remporter la présidentielle« . Selon la théorie du complot si chère au mauvais perdant Hussein Obama : « La Russie a interféré dans la présidentielle américaine, estime la CIA dans une évaluation secrète dont le Washington Post s’est fait l’écho après que (le mauvais perdant Hussein Obama) ait ordonné un rapport sur les piratages informatiques menés pendant la campagne. Dans une évaluation secrète, la CIA estime que des personnes liées à Moscou ont fourni au site WikiLeaks des emails piratés provenant des comptes de l’ancien directeur de campagne de la candidate démocrate (corrompue) Hillary Clinton…
Voilà pourquoi le mauvais perdant Hussein « Obama a ordonné « un examen complet« sur ce qui s’est passé lors du processus électoral 2016« . La « communauté du renseignement » (???) estime que l’objectif de la Russie était d’aider Trump à être élu« , a indiqué le Washington Post.
« Le Washington Post note que l’évaluation de la CIA est « loin de constituer un rapport en bonne et due forme« et que le renseignement américain ne dispose d’aucune preuve montrant que le Kremlin aurait « ordonné« de transmettre les emails piratés (plus de 20.000 courriels publiés) à WikiLeaks. Selon le New York Times, « ce n’est pas certain (…) que l’intention première de la Russie ait été de soutenir Trump.
« Des responsables du renseignement et d’anciens responsables de l’équipe Clinton pensent que « l’objectif des Russes était de perturber la campagne et de saper la confiance dans la légitimité du scrutin« .
« Le département de la Sécurité intérieure (DHS) et la direction du renseignement (DNI) avaient enquêté et conclu qu’avaient été piratés les comptes d’organisations politiques. Avaient été mises en cause diverses organisations russes, « Cozy Bear », cyber-bras armé du FSB, le successeur du KGB, et « Fancy Bear », un proche des services du renseignement militaire russe. Et Assange, le fondateur de WikiLeaks, avait révélé des détails sur les discours rémunérés de Clinton (la corrompue) devant des banquiers de Wall Street.
« Donald Trump, qui a multiplié les propos flatteurs envers Vladimir Poutine, a toujours affirmé qu’il ne croyait pas à une intervention de Moscou visant à affaiblir sa rivale démocrate Hillary Clinton. Et à la question de savoir si les conclusions (de la CIA) étaient « politiquement motivées« , Trump a répondu : « Je le crois« .
Juliette Mickiewicz (le Figaro) : « Alors que son mandat s’achève, (Hussein Obama) vient d’entériner (un « mauvais coup de pied de l’âne » législatif) une modification de la loi sur la liberté de religion qui inclut les athées (et les LGBT) comme groupe à protéger au même titre que les différents groupes religieux. C’est aux États-Unis, le pays dont la devise officielle n’est autre que « In God we trust » (nous croyons en Dieu), (que la) décision de modifier une loi concernant « la protection des croyants dans le monde » a été prise (par Obama).
« La loi condamne le fait de « viser des humanistes (les LGBT) et athées en raison de leurs croyances« . L’objectif est de permettre aux États-Unis d’exercer une pression morale sur des (pays) étrangers… (Le perdant) Obama sait que son bilan est très mitigé, notamment en politique étrangère, (alors) qu’il a eu « le prix Nobel (politique) de la paix« . C’est une diplomatie morale américano-socialiste minable et foireuse, comme les bavardages de Hollande à la télé ! C’est la forme manifeste d’impérialisme moral gay-mondialiste décadent.
Mais, avec Donald Trump, ce sera : « America great again » et « Dieu protège l’Amérique ! »
Thierry Michaud-Nérard
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Le Grand Mensonge des Démocrates Américains
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LPV
9/26/2019
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Le Grand Mensonge des Démocrates Américains
Publié le 08/01/2017 à 19:59
On ne peut pas blâmer les Démocrates américains de tenter, par tous les moyens, de masquer la portée de leur échec en l’attribuant à toutes sortes de motifs, même les plus fantaisistes. La pilule est certes amère. Toutefois, la part la plus intéressante de cette hystérie collective est le phénomène d’auto-persuasion qui en est le moteur et que la plupart des grands médias du pays alimentent.
L’argument numéro un des perdants est la faillite du système électoral et, en particulier, le fait que la candidate démocrate, Hillary Clinton, a remporté le scrutin populaire. C’est oublier que la situation, même si elle n’est pas commune, s’est produite à quatre reprises au cours de l’Histoire des Etats-Unis, et qu’elle ne constitue pas de difficulté particulière aux termes de la Constitution. De plus, le 115ème congrès, sorti des urnes le 8 novembre 2016 et en fonction depuis le 3 janvier 2017, a vu 52% des électeurs voter pour les Républicains au Sénat et 55% à la Chambre des représentants. Il n’y a donc aucune anomalie dans les élections de 2016 de ce point de vue.
Le second argument est celui du piratage informatique à grande échelle des élections, sur ordre du président russe Vladimir Poutine, afin de faciliter l’élection de Donald J. Trump. Là encore, l’idée ne tient pas debout. Aucune trace de défaillance dans le nombre limité de votes électroniques aux élections n’a été décelée. Les services du renseignement américain, en dépit de leur conviction affichée selon lesquelles il existe un indice « haut » de confiance dans le fait qu’il y a eu piratage, ne sont pas tenus de produire le moindre élément de preuve au public, puisque de telles informations sont par essence classées « secret défense ». Il faut donc les croire sur parole.
Poussés par ceux qui demeurent sceptiques sur la manière dont on s’y prend pour influencer le résultat d’une élection par des moyens électroniques, des experts affirment, par dizaines, que le régime russe a répandu de « fausses informations » à grande échelle afin de porter atteinte à l’image de la candidate Hillary Clinton. Les mêmes sont incapables d’expliquer concrètement comment l’on s’y prend et pourquoi il faut des « hackers » pour influencer les esprits dans leur choix lors d’un vote.
UNE MAUVAISE CANDIDATE
Hillary Clinton n’a eu besoin ni de Vladimir Poutine, ni de Julien Assange et encore moins de « pirates » pour perdre les élections de 2016. Ce ne sont pas de prétendues « fausses » informations qui ont heurté sa réputation déjà bien entamée auprès de nombreux électeurs américains, par exemple, dans l’affaire des emails, mais au contraire, son refus obstiné de prendre cette affaire au sérieux et de répondre aux interrogations. On ne voit pas, non plus, quelles « fausses » informations ont poussé l’électorat noir américain à se sous-mobiliser lors du vote du 8 novembre, ou les femmes et les plus jeunes à bouder sa candidature, après la défaite de Bernie Sanders lors des primaires démocrates.
Hillary Clinton, dont l’ambition n’est pas éteinte par la défaite, a affiché un visage froid, autoritaire et cassant, durant sa campagne. Elle n’a pas su développer un programme à la fois lisible et crédible, qui aurait pu emporter un vote, à la fois populaire et du collège électoral, si tranché qu’il n’y aurait eu aucune contestation. Comment, en effet, se revendiquer de l’héritage de Barack Obama, lorsque cet héritage peine à brandir autre chose que l’Obamacare, dont même les démocrates savent qu’il n’est pas financé au-delà de 2017 et coûte, en réalité, une fortune au regard des bénéfices qu’il apporte ?
MENSONGES ET DÉNI
Car au-delà de cette loi sur la santé qui n’est en rien un système généreux et égalitaire tel qu’on le pense du côté des Européens, c’est le vide. Même si le Secrétaire d’Etat John Kerry blâme ces derniers jours le gouvernement anglais, prétendant qu’il est à l’origine de l’incapacité d’Obama à agir plus concrètement et durablement au Moyen-Orient contre l’état islamique, la mémoire de tous est par chance encore assez fraîche pour se souvenir que les huit années de ce président ont été celles d’une grande hypocrisie diplomatique et militaire. Mais le déni, dans ce domaine comme dans bien d’autres, est plus puissant que la mémoire.
Les âmes sensibles sont outrées par l’idée de construire un mur à la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique. On a beau leur montrer les mille kilomètres de ce mur déjà construit, y compris sous le premier mandat d’Obama, cela n’a guère d’effet et n’entraîne aucune interrogation sur les raisons pour lesquelles le bon président n’en n’a pas retiré une seule pierre.
Un autre exemple est celui de la crise financière de 2008 et du retour au « plein emploi » huit ans plus tard : quel président n’aurait point réussi ce « prodige » en creusant le déficit de son pays, comme Barack Obama l’a fait, de près de 5000 milliards de dollars ?
La période 2008-2016 n’a pas non plus été celle de législations majeures en matière d’armes à feu, d’incarcérations, de recul de la peine de mort, de maîtrise des frais de scolarité ou de gestion des prêts étudiants parvenus à des hauteurs astronomiques.
Quel est donc ce succès dont les Démocrates se revendiquent au juste? Est-ce celui des villes défigurées sous les coups de boutoir du géant Amazon, à la fois propriétaire du puissant Washington Post et importateur massif de toutes les chinoiseries possibles qui inondent un marché américain ou l'on ne sait plus fabriquer une chaussette? Est-celui de Saint Zuckerberg, le jeune patron de Facebook, "le" média des "millénaires" qui ne savent plus à quoi ressemble un livre et qui entre désormais en politique avec de hautes ambitions? Est-ce celui du mariage gay et de la dépénalisation du cannabis, hautes priorités s'il en est dans un monde où tout le monde se fout des 250 000 morts du Sud Soudan, bien moins "sexy" que ceux de Syrie?
QUEL HÉRITAGE OBAMA?
Alors, que reste t-il de cet héritage Obama, au juste ? Une posture, bien évidemment. Après George W. Bush et le mensonge irakien, n’importe quel président aurait été auréolé de gloire. On attendait d’Obama, toutefois, un peu plus qu’un physique avenant, un talent rhétorique et l’humour dont il a tant usé. Car c’est à ce que laisse un président que l’on mesure son impact, pas à sa performance sur la scène du pouvoir. L’Amérique n’est pas plus sympathique dans le monde qu’elle ne l’était avant son arrivée, ni plus sûre, ni plus égalitaire. Mais elle a la chance d’être un pays pragmatique : en ramenant au pouvoir, contre toute attente, les Républicains, elle a flanqué une gifle magistrale aux « progressistes » qui se croyaient tout permis. Elle ne l’a pas fait par folie ou par irresponsabilité mais parce qu’elle a confiance dans la capacité de ses institutions à « encaisser » ce type de choix démocratique, si perturbant soit-il pour des milieux qui s’estiment mieux éduqués et éclairés que les autres. On appelle cela l’alternance, une banalité que les Démocrates veulent aujourd’hui faire passer pour un scandale et une catastrophe.
Cherchez l’erreur.
Source: https://www.marianne.net/
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Sondage: La majorité des Américains contre la destitution de Trump
Par
LPV
9/26/2019
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Sondage: La majorité des Américains contre la destitution de Trump
Zachary Evans il y a 5 heures
La plupart des Américains s'opposent à la destitution du président Trump, selon un sondage de l'Université Quinnipiac publié mercredi.
Le sondage a eu lieu du 19 au 23 septembre, avant la publication mercredi de la transcription d'une conversation téléphonique entre Trump et son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky. Au cours de cette période, Trump a dû faire face à une indignation croissante face à des accusations selon lesquelles il aurait indûment fait pression sur Zelensky pour qu'il mène des enquêtes préjudiciables au candidat à la présidence, Joe Biden.
37% des répondants au sondage ont déclaré que Trump devrait être destitué et démis de ses fonctions, tandis que 57% étaient contre la destitution.
Le sondage a interrogé 1 337 électeurs inscrits et avait une marge d'erreur de 3,2%.
Les électeurs étaient en grande partie opposés à la destitution bien que l’approbation de la performance de Trump soit de 38%, 55% indiquant une opinion défavorable du président.
Les résultats montrent que les attitudes vis-à -vis de la mise en accusation n’ont pratiquement pas changé depuis la fin du mois d’août. Un sondage de l'Université de Monmouth publié le 22 août a révélé que 35% des Américains étaient contre la destitution, alors que 59% étaient opposés.
La présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, a annoncé mardi qu'elle appuierait une enquête de destitution du président.
Un graphique du New York Times montre que 205 démocrates de la Chambre se sont prononcés en faveur de la destitution. Une petite fraction du caucus démocratique de la Chambre est soit opposée à la destitution, indécise, soit n’a pas répondu aux demandes du Times.
Au moment d'écrire ces lignes, aucune républicaine de la Chambre ne s'est prononcée en faveur de la destitution.
Pelosi et d'autres grands démocrates ont été réticents à engager des procédures de destitution, certains représentants des centristes craignant que cela ne nuise à leurs perspectives de réélection. Cependant, à la suite du scandale des lanceurs d'alerte qui sévit actuellement à Washington, de nombreux démocrates qui étaient auparavant indécis ont depuis donné leur soutien à la destitution de Trump.
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Le président ukrainien à l'appel de Trump: "Personne ne m'a poussé"
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LPV
9/25/2019
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9/25/2019 9:02:00 PM
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Le président ukrainien à l'appel de Trump: "Personne ne m'a poussé"
Lors d’une conférence de presse conjointe avec le président Donald Trump, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a déclaré à la presse que le président américain ne lui avait pas demandé de faire une enquête sur l’ancien vice-président Joe Biden et son fils Hunter.
Ses propos ont été exprimés au milieu de la fureur provoquée par un appel téléphonique entre les deux dirigeants mondiaux le 25 juillet, dont les détails ont été publiés dans un résumé publié mercredi par la Maison Blanche. Pendant l'appel, Trump a demandé à Zelensky de "se pencher sur" Biden.
"Je pense que vous avez tout lu. Je suis désolé, mais je ne veux pas participer [à ] des élections démocratiques et ouvertes aux États-Unis", a déclaré Zelensky à la presse réunie à l'Assemblée générale des Nations Unies. "Nous avons eu, je pense, un bon appel téléphonique ... C'était normal. Nous avons parlé de beaucoup de choses. Je pense que vous avez lu que personne ne m'a poussé."
Trump a ajouté: "En d'autres termes, pas de pression."
Plus tôt cette année, l'avocat personnel de Trump, Rudy Giuliani, avait appelé publiquement l'Ukraine à enquêter sur Joe Biden, bien qu'aucune preuve d'acte répréhensible à l'encontre du travail de son fils n'ait été révélée.
Lors de l'appel téléphonique de juillet, Trump a déclaré: "On parle beaucoup du fils de Biden, que Biden a mis fin aux poursuites et que beaucoup de gens veulent en savoir plus, alors tout ce que vous pouvez faire avec le procureur général serait génial", selon au résumé.
"Biden s'est vanté d'avoir arrêté l'accusation, alors si vous pouvez vous renseigner, cela me semble horrible."
Les démocrates, dirigés par la présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, ont déclaré que la demande du président à un gouvernement étranger d’enquêter sur son rival politique mérite une enquête de destitution, mais le président Trump maintient que sa conversation avec Zelensky était "parfaite" et qu’il n’y avait pas de "quid pro quo". "
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Bensouda fait appel de l’acquittement de Laurent Gbagbo et Charles Blé
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LPV
9/18/2019
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CPI : Fatou Bensouda fait appel de l’acquittement de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé
Publié le : 16/09/2019 - 22:38
Par :Nicolas GERMAINSuivre|Meriem AMELLAL|Louma SANBAR
Au sommaire de ce journal, l'appel de la procureure de la Cour pénale internationale contre l'acquittement de l'ancien président ivoirien Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé. Les deux hommes, poursuivis pour crimes contre l'humanité, avaient été acquittés en janvier dernier. Le compte rendu d'audience et les réactions dans ce journal
https://youtu.be/ctdyDffmif0
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Togo: la dépouille de l’artiste Jimi Hope est arrivée à Lomé
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LPV
9/6/2019
Dernier posting
9/6/2019 4:25:57 PM
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Togo: la dépouille de l’artiste Jimi Hope est arrivée à Lomé
Par RFI Publié le 04-09-2019 Modifié le 04-09-2019 à 18:08
C’est dans la nuit de mardi que le corps du rockeur togolais Jimi Hope est arrivé sur sa terre natale. Jimi Hope est décédé dans la nuit du dimanche 4 au lundi 5 août à Paris à l’âge de 63 ans. Malgré l'heure tardive, beaucoup de fans et de nombreux officiels attendaient le corps du célèbre artiste.
L’avion est arrivé plus tôt que prévu et tout est allé vite. 23h50, un mouvement de photographes s’observe au niveau de la bande à bagage, c’est le cercueil de Jimi Hope, enveloppé dans une housse et rapidement récupéré par les agents de l’aéroport. Il est directement amené jusqu’au corbillard affrété. Plusieurs parents et amis s’effondrent en larmes.
« Une icône de la culture togolaise »
Pas de cérémonie, et très vite le long convoi de véhicules conduit la dépouille mortelle à la morgue du centre hospitalier universitaire Sylvanus Olympio de Lomé. Daniel Têkoé était dans la foule, il se souvient de leur premier spectacle, ils étaient tous collégiens : « C’était en 1973. On a fait beaucoup de concerts. Le jour où Jimi a pris pour la première fois le micro pour chanter à un concert, c’était un coup de grâce sur le terrain de notre collège, face aux gens, à Lomé. Il a chanté une chanson de Johnny Hallyday ‘’Je suis né dans la rue’’ ».
Plusieurs ministres du gouvernement étaient présents. Parmi eux, le ministre de la Culture, du tourisme et des loisirs, Kossivi Egbétonyo. Il confie que le Togo perd une célébrité : «Jimi Hope, c’est une icône de la culture togolaise qui vient d’être arrachée à son cher pays par la mort. C’est ce qui justifie qu’au plus haut niveau de l’État, le gouvernement s’est déplacé en nombre suffisant de ministres».
Un comité d’organisation officiel est à pied d’œuvre. Il peaufine le programme des obsèques prévues les 13 et 14 septembre prochains.
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Robert Mugabe est mort à 95 ans
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LPV
9/6/2019
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Zimbabwe: l'ancien président Robert Mugabe est mort à 95 ans
06/09/2019 Ã 07h14
Il avait été l'un des "pères de l'indépendance" de ce pays d'Afrique australe.
C'est à l'âge de 95 ans que l'ancien président du Zimbabwe, Robert Mugabe, est mort a annoncé son successeur Emmerson Mnangagwa. Après 37 ans au pouvoir de 1980 à 2017, il avait laissé sa place après un coup d'état.
"C'est avec la plus grande tristesse que j'annonce le décès du père fondateur du Zimbabwe et de l'ancien président, le commandant Robert Mugabe", a déclaré Emmerson Mnangagwa dans un tweet.
"Le commandant Mugabe était une icône de la libération, un panafricain qui a dédié sa vie à l'émancipation (...) de son peuple. Sa contribution à l'histoire de notre nation et de notre continent ne sera jamais oublié. Que son âme repose en paix", a-t-il ajouté.
Robert Mugabe avait pris les rênes de l'ex-Rhodésie, devenue indépendante, en 1980. Lâché par l'armée et son parti, il a été contraint à la démission en 2017. Il a laissé un pays englué dans une profonde crise économique qui ne cesse d'empirer.
Président à plusieurs visages
Dès son arrivée au pouvoir, sa politique de réconciliation, au nom de l'unité du pays, lui vaut des louanges générales, particulièrement dans les capitales étrangères. "Vous étiez mes ennemis hier, vous êtes maintenant mes amis", lance l'ex-chef de la guérilla.
Il offre des postes ministériels clés à des Blancs et autorise même l'ancien Premier ministre, Ian Smith, à rester au pays.
Bardé de diplômes, le révolutionnaire Mugabe apparaît comme un dirigeant modèle. En dix ans, le pays progresse à pas de géant: construction d'écoles, de centres de santé et de nouveaux logements pour la majorité noire.
Très tôt pourtant, le héros a la main lourde contre ses opposants.
Paria
Dès 1982, il envoie l'armée dans la province "dissidente" du Matabeleland dans le sud-ouest, terre des Ndebele et de son ancien allié pendant la guerre, Joshua Nkomo. La répression, brutale, fait environ 20.000 morts.
Mais le monde ferme les yeux. Il faudra attendre les années 2000, ses abus contre l'opposition, des fraudes électorales et surtout sa violente réforme agraire pour que l'idylle s'achève.
Affaibli politiquement, déstabilisé par ses compagnons d'armes de la guerre d'indépendance, Robert Mugabe décide de leur donner du grain à moudre en les lâchant contre les fermiers blancs, qui détiennent toujours l'essentiel des terres du pays.
Caricature
Dans les dernières années de sa vie, il balaie de la même façon les spéculations sur son état de santé. La rumeur le dit atteint d'un cancer, son entourage explique ses fréquents séjours à Singapour par le traitement d'une cataracte.
"Mes 89 ans ne signifient rien", plastronne-t-il en 2013 juste avant son énième réélection. "Est-ce qu'ils m'ont changé ? Ils ne m'ont pas flétri, ni rendu sénile, non. J'ai encore des idées, des idées qui doivent être acceptées par mon peuple".
Malgré ces assurances, sa santé décline. En 2015, il est surpris à prononcer le même discours à un mois d'intervalle. Les photos de ses siestes pendant les réunions internationales n'en finissent plus de faire rire la planète.
Incarnation jusqu'à la caricature du despote africain prêt à tout pour prolonger son règne, il promet pourtant de fêter ses 100 ans au pouvoir. Il ne tiendra pas parole.
Hugo Septier avec AFP
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Live Aid to Africa | Bohemian Rhapsody
Par
LPV
8/22/2019
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https://youtu.be/2cH5htm6T4E
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CPI – Fin du délai imparti à Bensouda : voici la décision de la cour
Par
LPV
8/21/2019
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CPI – Fin du délai imparti à Bensouda : voici la décision de la cour sur le dossier Gbagbo
PolitiqueA la Une
Par Modeste Dossou Le 14 Août 2019 à 20:43
Dans l’affaire de cime de guerre et de crime contre l’humanité dont on accuse l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo et son ancien ministre Charles Blé Goudé, le délai imparti au procureur pour faire appel est arrivé à son terme ce mercredi 14 août 2019. Mais que s’est-il passé ?
Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé ont été acquittés par la chambre préliminaire de la Cour pénale internationale qui a ordonné leur libération immédiate. Après publication des motivations écrites de ce verdict, le procureur, Fatou Bensouda disposait de 30 jours pour décider si elle ferait appel ou pas de la décision. Ce délai étant arrivé à son terme, tout le monde attendait ce qui allait se passer du côté de la Haye.
Eh bien, selon le site d’information Koaci.com qui a joint le porte-parole de la CPI, Fadi El Abdallah, la cour a décidé d’accorder 30 jours supplémentaires à Fatou Bensouda pour prendre sa décision. « La Hanovre a accordé trente jours de plus à Mme la procureure pour déposer sa demande d’appel », a indiqué le porte-parole au média. L’attente sera donc prolongée pour tous ceux qui s’attendaient à la fin ou la continuité de ce procès marathon.
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Royaume-Uni: Pour Donald Trump, Boris Johnson «sera un super Premier ministre»
Par
LPV
7/27/2019
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Royaume-Uni: Pour Donald Trump, Boris Johnson «sera un super Premier ministre»
DIPLOMATIE Les deux hommes se sont appelés ce vendredi
20 Minutes avec AFP
Publié le 27/07/19 à 02h20 — Mis à jour le 27/07/19 à 02h20
Donald Trump s’est trouvé un nouvel ami en Europe. Le président américain a annoncé ce vendredi avoir parlé avec le nouveau Premier ministre britannique, Boris Johnson, qui sera « super » à son poste, selon lui.
Donald Trump a par ailleurs indiqué que Washington et Londres « travaill(aient) déjà à un accord commercial » post-Brexit, qu'il promet « très important ». « Je pense que nous pouvons faire trois, quatre à cinq fois plus avec le Royaume-Uni », a-t-il développé, notant que les Etats-Unis étaient « empêchés» jusqu'ici de commercer d'avantage avec les Britanniques en raison de «leur relation avec l'Union européenne ».
Boris Johnson, « un bon gars »
Les deux dirigeants « ont convenu que le Brexit offrait une opportunité sans égal de renforcer le partenariat économique » entre les deux pays, a confirmé à Londres une porte-parole du Premier ministre, Jess Seldon. Ils « se sont tous les deux engagés à conclure un accord de libre-échange ambitieux et de commencer les négociations dès que le Royaume-Uni quittera l'Union européenne », a-t-elle précisé.
Boris Johnson « sera un super Premier ministre. Il a les qualités pour », a également dit Donald Trump, le qualifiant aussi de « bon gars » et d'« ami », quelques minutes seulement après la fin de leur conversation téléphonique. « Nous nous entendons très bien. »
« Cela fait longtemps que le Royaume-Uni avait besoin de lui »
« Cela fait longtemps que le Royaume-Uni avait besoin de lui », a ajouté le milliardaire républicain, qui avait ouvertement critiqué la prédécesseure de Boris Johnson, Theresa May, pour sa gestion du Brexit.
Selon Downing Street, Donald Trump et Boris Johnson ont également évoqué lors de leur échange téléphonique les tensions actuelles dans le Golfe.
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Trump autorisé à utiliser des fonds du Pentagone pour construire son mur
Par
LPV
7/27/2019
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La Cour suprême autorise Trump à utiliser des fonds du Pentagone pour construire son mur
Le mur à la frontière mexicaine est l’une des promesses phares du président américain. Pour contourner l’opposition du Congrès, Donald Trump avait invoqué l’« urgence nationale ».
Le Monde avec AFP Publié aujourd’hui à 03h50
La Cour suprême américaine a autorisé vendredi 26 juillet l’utilisation par l’administration Trump de 2,5 milliards de dollars venus du Pentagone pour construire le mur à la frontière avec le Mexique, une décision saluée par le président des Etats-Unis.
« Wow! Grande victoire sur le mur », s’est tout de suite félicité, sur Twitter, le locataire de la Maison Blanche. « La Cour suprême des Etats-Unis a renversé l’injonction d’une cour inférieure, autorisant le mur à la frontière sud de continuer », a-t-il poursuivi.
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